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s qui ont poussé M. Dominicé à l’écrire, et qu’il
expose
en une vingtaine de pages précises, mesurées, et convaincantes. Il me
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everse à la lecture des Stades, on trouvera ici l’
exposé
judicieux, parfois même bonhomique : ce n’est pas le moindre piquant
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ction de Jean Wahl qui réussit ce tour de force d’
exposer
clairement, sans la trahir, la dialectique « abyssale » de cette œuvr
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ut de réformer l’Église. Tout ceci est fort bien
exposé
par M. Albert-Marie Schmidt dans son introduction aux Trois traités q
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à des trouvailles, une sobriété vigoureuse dans l’
exposé
des sic et non, enfin ce ton naturel de grandeur qui s’accommode des