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ande des apaisements ou des directions positives.
Faut
-il encore ajouter à son trouble, l’aggraver, le rendre littéralement
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expérience religieuse, problème de Dieu. Il n’en
faut
pas plus pour que se lèvent de toutes parts de troublants paradoxes.
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isse romand rentre sous terre, pour éviter Amiel.
Faut
-il désespérer de le revoir jamais ? Mais non, il faut lire d’abord Pi
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-il désespérer de le revoir jamais ? Mais non, il
faut
lire d’abord Pierre Girard et Charles-Albert Cingria : La Rose de Thu
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u.) Pour comprendre l’humour de Pierre Girard, il
faut
avoir aimé Charlot, celui des Lumières de la Ville et du Cirque. Les
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ainsi nettement posée : pour devenir chrétien, il
fallait
« rencontrer personnellement le Christ ». Mais comment cette rencontr
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œuvres traduites jusqu’ici, un peu au hasard, il
faut
l’avouer, le Traité du désespoir 3 est de beaucoup la plus centrale,
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que du premier volet d’un triptyque dont il nous
faut
attendre les deux autres parties pour saisir la pleine signification.
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ment je l’espère, la perspective dans laquelle il
faut
considérer l’ensemble des écrits de Kierkegaard, et qui est celle du
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mique : ce n’est pas le moindre piquant du livre.
Fallait
-il souhaiter à Kierkegaard une introduction plus systématique ? Je ne
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éologie sous prétexte que c’est abstrait : encore
faudrait
-il se garder de vivre une théologie équivoque. À quoi les membres du
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. Ils dorment côte à côte. D’autres viennent : il
faut
écarter les parois de la pièce pour permettre à chacun de se coucher.
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, entendez romanciers de climats protestants. Que
faut
-il pour faire un roman ? Des caractères, de la vie intérieure, une mo
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vrai roman chrétien est d’abord réaliste. Car il
faut
bien connaître la nature et ses abîmes, si l’on veut être à même d’y
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gaard nous rappelle que pour aider les hommes, il
faut
d’abord les trouver là où ils sont. Ainsi ce livre est consolant, par
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a royauté absolue vers « l’État totalitaire ». Il
faut
ici risquer un mot sans doute anachronique, mais que tout le livre de
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int qu’on portât des glands à son collet, il n’en
faudrait
point porter, parce que ce n’est point tant la chose défendue que la
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âne, qu’il eut trois jours de voyage et qu’il lui
fallut
un peu de temps pour fendre le bois, lier Isaac et aiguiser le coutea
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propos d’une de mes récentes chroniques, ce qu’il
fallait
entendre par le protestantisme de Dostoïevski. Je ne saurais mieux ré
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r le ciel noir désigne le Sauveur en croix : « Il
faut
qu’il croisse et que je diminue. » C’est donc sous l’angle de leur vo
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pales perspectives de « l’univers » calvinien. Il
faut
bien avouer que les commentateurs nous avaient donné jusqu’ici une im
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d’être par trop « irresponsable ». Peut-être nous
faut
-il revenir vers les chefs pour apprendre à nouveau ce que parler veut
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À ces deux causes illustrées par notre auteur, il
faut
en ajouter une troisième, qui les commande directement : celle d’un c
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pose à M. Monod le problème central de ce livre.
Faudra-t
-il donc revenir à Marcion, hérétique condamné par toute la tradition
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Dieu, éternellement active, et qui nous aime. Il
faut
choisir. Mais le choix est-il libre ? On retombe au débat de Luther e
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ne action. La méthode consistant trop souvent, il
faut
le dire, à tenir pour vrai ce que l’on juge le plus bas. Ainsi l’on e
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ramènerait à la physiologie, ou à l’argent. Il ne
fallait
pas moins que le génie plein de malices d’une Lagerlöf pour renverser
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s mariée, deviendra sa compagne. Il sort. Il s’en
faut
de peu qu’il ne rencontre dès les premiers pas une vieille mendiante
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; elle est défigurée par une énorme tache de vin.
Faudra-t
-il accepter ce martyre ? Déjà, le jeune homme s’y résigne… À quelques
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tion. Mais pour qu’une telle phrase soit dite, il
faut
des âmes fortement tendues. Et pour que cette même phrase soit aussit
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ique par le héros, sans nulle invraisemblance, il
faut
que ce héros soit un croyant d’une certaine trempe. Derrière Karl-Art
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mot, de l’auteur du triptyque des Löwensköld. Il
faut
avouer que le milieu où Selma Lagerlöf a grandi paraît favoriser plus
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ire qu’au lieu d’en faire un acte raisonnable, il
faut
le montrer tel qu’il est en réalité : l’aventure la plus difficile. S
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ra trente mètres de large, et trois étages, qu’il
faut
ne jamais laisser vides. J’écris des phrases très courtes, un peu com
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leur auteur difficile à cataloguer. Mais pourquoi
faut
-il cataloguer, définir à tout prix ? C’est une idée un peu scolaire.
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es, tant sociales et morales que matérielles… Que
faudrait
-il de plus, pour qu’on ait le droit de parler d’une éclipse ou d’une
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s acceptable et imitable qu’aucune autre. Mais il
faut
voir enfin que cette civilisation n’a pu devenir universelle qu’en ve
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iffusées de nos jours sur toute la terre. Il s’en
faut
de beaucoup que leurs rivales asiatiques, qu’on dit plus raffinées, a
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sez-vous aujourd’hui ? Je continue à penser qu’il
faudrait
élever les gens dans une méfiance profonde de ce que représente la pa
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nu à ce point qu’il y a deux morales, l’une qu’il
faut
enseigner aux enfants, par tous les moyens possibles et qui mène au m
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etzsche ? Au nom de quoi venez-vous me dire qu’il
faut
être socialiste ou qu’il faut être de gauche ? Nous entrons dans l’ar
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-vous me dire qu’il faut être socialiste ou qu’il
faut
être de gauche ? Nous entrons dans l’arbitraire total. Si, au contrai
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cheminement des esprits. Robert Schuman Il nous
faut
faire l’Europe afin de rester nous-mêmes, disons pour aller vite : ni
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si elle devait coïncider avec un État-nation, il
faudrait
annexer à la République fédérale outre l’Allemagne de l’Est, la Suiss
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ne protège contre rien, n’arrête rien de ce qu’il
faudrait
arrêter — tempêtes, épidémies, pollution de l’air et de l’eau — mais
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l’air et de l’eau — mais gêne les échanges qu’il
faudrait
promouvoir et vexe tout le monde ; beau symbole de la souveraineté st