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plus complet et quelques extraits de ses œuvres8.
Fils
d’un conseiller de l’empereur et d’une danseuse, Kagawa se convertit
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de cette chronique. On voit naître et grandir un
fils
, puis les enfants d’une troisième génération. (C’est un des grands po
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l’homme qui a osé l’absurde. Dieu lui a donné un
fils
, à l’âge de 70 ans. Il n’a pas ri — comme Sarah, sa femme — de ce mir
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n va vers les monts de Morija, pour sacrifier son
fils
unique. Il le fait « en vertu de l’absurde », c’est-à-dire en vertu d
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que son objet, c’est Dieu le Père, révélé par le
Fils
, et non ce Dieu omnipotent du dogme. En effet, Dieu n’est pas dans la
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un esprit mauvais, d’un démiourgos que le Christ,
fils
de Dieu, est venu pour combattre et pour vaincre ? M. Monod le pense.
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mme comme le Père que par son incarnation dans le
Fils
, reconnue grâce au Saint-Esprit. Laissons l’aspect théologique de cet
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aisaient partie André Breton, Marcel Ozenfant, un
fils
Pitoëff, le critique d’art Georges Duthuit, l’ethnologue Claude Lévi-
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s libres, ni hommes ni femmes, car vous êtes tous
fils
de Dieu, vous êtes tous un en Jésus-Christ. »), cette conception deva