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pas capable par lui-même de faire le bien, que la
foi
seule lui donne la promesse du salut, que cette foi n’est pas le cour
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i seule lui donne la promesse du salut, que cette
foi
n’est pas le couronnement de sa « vie religieuse », mais le don gratu
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anisme, c’est l’immédiat, l’instant éternel de la
foi
, et non l’histoire de l’homme pieux ; un événement et non une croyanc
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blique, votait la clause aryenne et trahissait sa
foi
, Barth s’est dressé dans une protestation retentissante, que personne
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qui commence à s’exprimer dans des revues comme
Foi
et Vie , Le Semeur , Hic et Nunc . Si, par ailleurs, ces jeunes thé
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entrale, mais exclusive de toute dogmatique. « La
foi
n’est pas une adhésion intellectuelle à des doctrines, mais la commun
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t une réponse, une explication certaine, digne de
foi
, de première source, une réponse de Dieu, qui, même si elle foudroie,
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velle forme de pragmatisme américain. Dire que la
foi
n’est réelle que là où elle se réalise ne signifie pas qu’il faille a
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rigide ne sont souvent que des acteurs. Seule la
foi
peut nous rendre actifs lorsqu’elle nous engage dans une relation con
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là un risque indéniable : celui de naturaliser la
foi
, de s’attacher aux résultats visibles et frappants, de retomber ainsi
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e sers ») dont Rougemont donne une recension dans
Foi
et Vie en septembre 1931. Kagawa sera également évoqué par Rougemont
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s ce quart. Quel avantage y voyez-vous pour votre
foi
? — Oh ! Pas le moindre ! Je constate un fait. Mais laissons là le pa
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st bien le mot ! C’est-à-dire qu’ils n’ont pas de
foi
, et qu’est-ce qu’un protestant sans foi ? Dans toutes leurs œuvres, v
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nt pas de foi, et qu’est-ce qu’un protestant sans
foi
? Dans toutes leurs œuvres, vous chercheriez en vain un roman véritab
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s dans sa vérité, c’est-à-dire dans l’objet de sa
foi
. Mais de cette force et de cette grandeur il est permis de rechercher
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, valeur de témoignage, sans cesse rapportée à la
foi
, dont Dieu seul juge. John Viénot — qui vient de mourir presque en mê
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iberté de conscience en général, plutôt que de la
foi
. Ceci dit, l’on ne saurait assez louer la science et les scrupules hi
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sée dominante, dans toute cette guerre faite à la
foi
évangélique, ait été celle des Espagnols et des Romains. Les catholiq
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laïques tout à fait libérés des disciplines de la
foi
, au moment décisif où, d’autre part, la pensée de son grand disciple
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question que pose cette œuvre, c’est celle de la
foi
, dans l’absolu. Ce n’est pas encore la question que Kierkegaard adres
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ssera plus tard à la chrétienté de son temps : la
foi
étant ce que j’ai dit – le paradoxe le plus inouï – avez-vous cette f
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dit – le paradoxe le plus inouï – avez-vous cette
foi
, êtes-vous vraiment chrétiens ? Servez-vous Dieu, ou bien vous servez
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rkegaard se débat encore avec lui-même. A-t-il la
foi
? Qu’est-ce que la foi ? Hegel, dont la philosophie obsède à ce momen
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e avec lui-même. A-t-il la foi ? Qu’est-ce que la
foi
? Hegel, dont la philosophie obsède à ce moment l’esprit de Kierkegaa
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vertu de l’absurde », c’est-à-dire en vertu de la
foi
, contre toute morale et toute règle « générale ». Il va commettre un
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’absurde ». C’est là le sort du « chevalier de la
foi
», le sort du chrétien véritable. Mais qui peut dire : j’ai cette foi
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rétien véritable. Mais qui peut dire : j’ai cette
foi
-là ? La réflexion philosophique que Kierkegaard enchaîne à l’exemple
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tante saura mesurer la valeur. ⁂ Qu’est-ce que la
foi
? demandait Kierkegaard dans Crainte et Tremblement. Qu’est-ce que la
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i se posent sérieusement la question : en quoi ma
foi
doit-elle transformer ma vie ? Or, toute l’insistance du grand théolo
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, c’est simplement la vie humaine éclairée par la
foi
dans sa réalité, puis offerte telle quelle « en sacrifice saint et ag
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nt. Qu’est-ce, en effet, que le « chevalier de la
foi
», sinon celui qui vit pleinement cette vie, toutefois « en vertu de
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remis. Car c’est à chaque instant de la vie de la
foi
que se posent les questions dernières. Mais cette vision de l’homme
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x qui jugent des vérités les plus profondes de la
foi
selon le poids de leurs représentants ! Or, cette espèce est plus nom
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s omet pourtant le fait chrétien fondamental : la
foi
. La foi est acte humain d’obéissance en même temps qu’elle est don de
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ourtant le fait chrétien fondamental : la foi. La
foi
est acte humain d’obéissance en même temps qu’elle est don de Dieu ;
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lte contre l’ordre de la Parole. En confondant la
foi
et la mystique, comme le fait par malheur M. Chuzeville, on contribue
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préjugé dont le bénéfice ne saurait être pour la
foi
. La mystique, nous dit-il, en effet, c’est « la recherche des moyens
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lecteur qui refuse l’essentiel — c’est-à-dire la
foi
de Luther — soit tout de même attiré et subjugué par le style, par le
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nt ici reposées par Luther : justification par la
foi
, qui est don gratuit et œuvre de Dieu seul en nous ; opposition de la
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entre les règnes en guerre ouverte du Dieu de la
foi
et du Prince de ce monde ; nécessité du témoignage, et du témoignage
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religions obscures dominent ceux qui n’ont pas la
foi
. Seule une prière désespérée, de pur amour, rompt le charme forgé par
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tte œuvre admirable, c’est celui du travail de la
foi
dans la réalité totale d’un peuple, qu’elle trouble, assemble, juge e