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e un ouvrage d’autocritique2 où il dégage le sens
général
de son œuvre. On peut y lire ceci, en matière d’introduction : « Je s
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ai sujet de ce grand livre. Le silence à peu près
général
de la critique à propos d’une telle œuvre donnerait lieu à des conclu
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ion, la supprime implicitement. Il réduit tout au
général
. Mais la Bible, que nous dit-elle ? Elle ne fait pas une théorie, ell
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u de la foi, contre toute morale et toute règle «
générale
». Il va commettre un meurtre, et c’est parce qu’il l’accepte qu’on l
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des croyants ? L’individu serait-il au-dessus du
général
? Serait-il affranchi de l’éthique ? Mais alors, comment donc compren