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, de l’extérieur, le gage de la résurrection. (La
grâce
n’est pas accordée aux « justes », mais bien aux condamnés à mort.) L
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tuelle des péchés et le « partage » (sharing) des
grâces
reçues, il sait qu’on ne peut être chrétien que totalement, personnel
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tre à même d’y voir les marques du surnaturel. La
grâce
n’intervient pas ailleurs que dans l’« abîme ». On la pressent d’abor
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On a dit de Sara Alelia que c’est un roman de la
grâce
: oui, mais c’est aussi, et d’abord, un roman de la perdition. J’y vo
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end soin d’elle au temps de son malheur. Puis une
grâce
vient dans sa vie, et désormais l’accompagne en secret tout au long d
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ous donne toute une anthologie de pareils traits.
Grâce
à quoi l’on ressort de cette lecture plus édifié encore que révolté.
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un bélier prêt pour le sacrifice… On célèbre la
grâce
de Dieu qui a donné Isaac pour la seconde fois ; on ne voit, dans tou
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en plus pécheur, de plus en plus livré à la seule
grâce
divine. La vie chrétienne, c’est simplement la vie humaine éclairée p
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à la limite de ses possibilités, là où paraît la
grâce
, in extremis. Car c’est à chaque instant de la vie de la foi que se p
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uisées depuis les Victoriens, retrouvent ici leur
grâce
et leur prestige. Une ironie sereine, à peine amère, les décape de to