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x fins de la renaissance germanique. Alors que la
grande
majorité des chrétiens d’Allemagne, rangée derrière les plus fameux d
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erait, parfois, d’un protocole d’introduction des
grands
génies de l’étranger dans la culture de ce pays. La présentation d’un
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rage ne mérite d’être lu par tous les amateurs de
grand
lyrisme intellectuel (le style admirable de ces pages a été rendu aus
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peintre juif — c’était dans son atelier — et une
grande
vedette de music-hall dont la présence discrète n’étonna personne. De
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s réel d’aujourd’hui. Je dirais qu’il est le plus
grand
, si la mesure de la grandeur, dans sa vision, n’était pas exclusiveme
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revues protestantes en ont parlé. C’est tout. Nos
grands
journaux ignorent quelques-uns des événements décisifs de l’histoire
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iait-on contre les prophètes. Kagawa est aussi un
grand
mystique, c’est-à-dire un grand poète. Le livre d’Axling nous donne d
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gawa est aussi un grand mystique, c’est-à-dire un
grand
poète. Le livre d’Axling nous donne d’admirables citations de ses Méd
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eul roman moderne authentiquement « réformé ». Un
grand
roman, je crois. C’est Sara Alelia, de Mme Hildur Dixelius. On vient
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enfants d’une troisième génération. (C’est un des
grands
pouvoirs des romanciers du Nord que d’introduire la durée d’une vie c
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a petite Eva Margareta, chaussée de galoches trop
grandes
, dans le taudis où son vieux père se saoule et sacre, dix autres scèn
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lité bouleversante des êtres, qu’il s’agisse d’un
grand
évêque ou de cette fille de ferme « au mince visage de belette » qui
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e, dont on dirait qu’elle est le vrai sujet de ce
grand
livre. Le silence à peu près général de la critique à propos d’une te
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vient de mourir presque en même temps qu’un autre
grand
historien protestant, Camille Jullian — avait adopté un parti tout di
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e vigueur au langage des faits, cités ici en très
grand
nombre à chaque page. Faits sinon nouveaux pour la plupart, en tout c
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érablement l’opinion que nous pouvions avoir du «
grand
siècle » tel que nous l’ont décrit les fervents de Louis XIV et certa
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éenne, fut l’œuvre personnelle des réformés. Le «
grand
dessein » qu’avait conçu Béthune pouvait faire de la France la premiè
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Casaubon, bien moins vindicatif, n’est pas moins
grand
lorsque, après avoir décrit l’enterrement nocturne et secret d’une de
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moment décisif où, d’autre part, la pensée de son
grand
disciple et continuateur, Karl Barth, pénètre et fait revivre notre p
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le transformer ma vie ? Or, toute l’insistance du
grand
théologien se porte dans ce livre sur un seul point : l’homme chrétie
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i ? Ses héros ne viennent-ils pas à nous comme de
grands
questionneurs, comme des êtres orientés vers autre chose qu’eux-mêmes
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itulé : Dostoïevski ou les confins de l’homme. Le
grand
succès qu’a remporté ce petit livre en Allemagne mérite d’être confir
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uvrant que l’homme n’est lui-même qu’une seule et
grande
question, la question de l’origine de sa vie, la question de Dieu. To
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qu’on ne pense. Que sait-on de Calvin dans notre
grand
public, sinon qu’il avait les joues creuses, une barbiche pointue et
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protestant, rendent ce parallèle irrecevable. Les
grands
théologiens de la Réforme ne sont pas à nos yeux des chefs d’école ;
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ux Trois traités que l’on vient de rééditer12. Le
grand
mérite de cette introduction, c’est qu’elle nous ouvre, en une quinza
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éal humaniste. Or, tous ceux-là se scandalisent à
grand
bruit, « non tant pour haine qu’ils portent aux scandales que pour nu
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agée à la façon des frénétiques, et tombent en de
grands
abîmes ou se rompent le col en s’aheurtant ». Cet étonnant traité, to
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partout les vertus qui, sans doute, font le plus
grand
défaut à notre siècle : une fermeté délibérée qui ne s’arrête pas com
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is et Ruysbroeck mis à part ; et beaucoup sont de
grands
poètes, des philosophes terriblement concrets : Suso, Tauler, Franck
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e allemand, encore si mal connu chez nous. Il est
grand
temps que nous rendions hommage à ce ver sacrum de l’esprit germaniqu
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ge à ce ver sacrum de l’esprit germanique. Il est
grand
temps que nous relevions ces titres de noblesse spirituelle momentané
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diatement, dans l’esprit de tout protestant, deux
grands
mouvements de pensée et d’action dont il fut l’un des principaux init
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isme social, et l’union des églises non romaines,
grande
espérance œcuménique et internationale née dans le « désarroi » de l’
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me. L’opposition apparaît absolue. Mais l’une des
grandes
surprises que nous réserve le Problème du Bien, c’est qu’au moyen d’u
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odernisme : même invention verbale, même goût des
grandes
antithèses, même générosité humanitaire. Et quelle surabondance d’ima
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age de parcourir au moins les œuvres capitales du
grand
réformateur. Or, il se trouve, et c’est presque incroyable, que, depu
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s inappréciables. Elle nous place au cœur même du
grand
débat occidental, celui de la pensée « pure » et de la pensée « engag
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amentale, de cette discussion séculaire, de cette
grande
tension spirituelle dans laquelle l’Europe a puisé son dynamisme créa
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, dans cet ouvrage, qui est avant tout celui d’un
grand
théologien ? Une verdeur de polémique qui peut flatter en nous le goû
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s la littérature du xxe siècle, il n’y a plus de
grands
mythes, il y a des analyses. On part de « faits d’observation » et l’
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était le dernier conteur. La même année paraît le
grand
triptyque des Löwensköld 15. Et, grâce à lui, nous pourrons rire de n
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rt à ce roman des Löwensköld, et porte sur lui de
grandes
ombres. Il y puise sa vie secrète, il en reçoit des dimensions nouvel
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a suffirait pour animer un roman romantique de la
grande
tradition. Mais tout ce pittoresque humain revêt un drame spirituel,
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c’est comme une anthologie de scènes mineures des
grands
romans de Lagerlöf. On y admire, appliquées au réel, toutes les vertu
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tion fabulatrice. Et c’est là que je vois le très
grand
intérêt de ces souvenirs — dont le charme, d’ailleurs, suffirait bien
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es complexes dont s’est nourri depuis cent ans le
grand
roman occidental : vies intérieures profondes, structure sociale stab
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Considérez ces trois facteurs dans le roman de la
grande
époque (xixe siècle) et voyez si leur décadence ne suffit pas à expl
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Colinet, son petit garçon. Denis de Rougemont est
grand
, souple, il a la réserve affable des Suisses, et ce sourire des lèvre
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laire qui resteront au cours des siècles ceux des
grands
mystiques. Ainsi tous les troubadours étaient des cathares ? J’en sui
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visage devient plus grave : Je n’attache pas une
grande
importance aux querelles que pourraient me chercher les savants. Ce q
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il est, depuis la semaine dernière, le lauréat du
Grand
Prix littéraire de Monaco. Mais qui est en réalité Denis de Rougemont
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é à Eugène Ionesco qui est un ami très cher et un
grand
écrivain. À ce propos, savez-vous où Ionesco a trouvé le sujet de son
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ns maintenant que l’abîme de l’Histoire est assez
grand
pour tout le monde. Nous sentons qu’une civilisation a la même fragil
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ope dans le monde, et que, d’autre part, les plus
grands
esprits du siècle précédent n’ont cessé d’annoncer les catastrophes q
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nt la sociologie et la technique, l’industrie, la
grande
presse, l’école obligatoire, la conscription universelle et les natio
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cembre 1970)ab ac Denis de Rougemont, les deux
grands
thèmes de votre vie ont été l’Amour et l’Europe. Quel était le Denis
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iété. Il me disait : « Voudriez-vous me rendre un
grand
service ? Accepteriez-vous de céder le tour de parution de votre manu
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e plus tôt possible le manuscrit d’un essai d’une
grande
actualité intitulé La France et son armée, et dont l’auteur est un je
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ur et l’Occident ? Je croyais que vous aviez une
grande
barbe blanche. » C’était la première réaction. Voici l’autre réaction
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ême, une floraison dans le ciel accompagnée d’une
grande
euphorie et d’un grand bonheur. Et votre définition de la mort ? Si u
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le ciel accompagnée d’une grande euphorie et d’un
grand
bonheur. Et votre définition de la mort ? Si un homme pouvait penser
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sibilité de ne pas croire. Tout cela avec la plus
grande
précision dans le détail, car il n’y a là que la précision qui est in
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de l’homme. D’autre part, je crois qu’il y a une
grande
naïveté à discuter sur l’existence ou la non-existence de Dieu étant
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observer un jour Étienne Gilson — pas un seul des
grands
professeurs n’était français : ils étaient napolitain comme Thomas d’
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anglais comme Roger Bacon. Tout cela formait une
grande
culture commune, bien antérieure à l’idée même d’État-nation. Mais di
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, que nous soyons « cultivés » ou non. Toutes les
grandes
écoles d’art, d’architecture, de musique, de philosophie, de littérat
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nt été paneuropéennes, et non pas nationales. Les
grands
courants européens, les grandes écoles d’art et de pensée : c’est l’u
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as nationales. Les grands courants européens, les
grandes
écoles d’art et de pensée : c’est l’unité de notre culture commune. M
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s les esprits distingués qu’il n’a pas bannis. Le
grand
secret de la vitalité inégalée de notre culture européenne, il est da
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ne, il est dans cette interaction perpétuelle des
grands
courants continentaux, qui établissent une unité vivante et dynamique
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nt les données communes. Or dans ce jeu entre les
grands
courants et les foyers locaux, entre l’unité et la diversité, l’échel