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urgeoise ne cesse d’inspirer les attitudes de ses
héros
, en dépit des carambolages du sort. Il y a donc Toepffer. Puis on tom
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celui des Lumières de la Ville et du Cirque. Les
héros
de Pierre Girard sont de doux ahuris, qui partent dans la vie avec un
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ttres sur la détresse humaine devant Dieu, que le
héros
adresse à « son muet confident », l’auteur. Peut-être avons-nous ici
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st-ce point encore la vision de Dostoïevski ? Ses
héros
ne viennent-ils pas à nous comme de grands questionneurs, comme des ê
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’origine de sa vie, la question de Dieu. Tous les
héros
de Dostoïevski apparaissent malades, comme blessés d’une atteinte pro
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peu illustrent la psychologie la plus secrète des
héros
. L’on prie de croire, d’ailleurs, que ces héros sont bien assez compl
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s héros. L’on prie de croire, d’ailleurs, que ces
héros
sont bien assez complexes pour notre goût moderne ! Et que l’« analys
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même phrase soit aussitôt mise en pratique par le
héros
, sans nulle invraisemblance, il faut que ce héros soit un croyant d’u
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héros, sans nulle invraisemblance, il faut que ce
héros
soit un croyant d’une certaine trempe. Derrière Karl-Artur, en effet,
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que Tristan et Iseut, les amants légendaires, les
héros
de la passion, ne s’aimaient pas ? Quand j’ai commencé à écrire mon l
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’Exposition de Zurich. Je veux mettre en scène un
héros
suisse, le bienheureux Nicolas de Flue, qui eut une vie extraordinair