1 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
1 ra commentent et rythment le déroulement de cette légende de la vie quotidienne. Vie quotidienne, réalisme, pessimisme. Je vois
2 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
2 Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)s L’art de conter pour le plaisir se perd. Et peut
3 re que l’origine de tout l’art du récit, c’est la légende . Une atmosphère d’enfance retrouvée — qu’on lise les souvenirs qui co
4 voilà le milieu-mère de l’imagination. C’est une légende , Gösta Berling, qui inaugure l’œuvre entière de l’auteurt. C’est une
5 inaugure l’œuvre entière de l’auteurt. C’est une légende encore qui donne le départ à ce roman des Löwensköld, et porte sur lu
6 (Mais, seule, la naïveté moderne se figure qu’une légende doit être crue, comme on croit les journaux, par exemple, et s’en ind
7 ment aussi, l’on s’aperçoit que la fatalité de la légende a bel et bien dominé tous ces êtres, malgré leur scepticisme ou leurs
8 L’Anneau des Löwensköld — contient le récit de la légende . Les deux tomes suivants — Charlotte Löwensköld et Anna Svärd — forme
9 s de, « [Compte rendu] Selma Lagerlöf, conteur de légende  », Les Nouvelles littéraires, Paris, 3 juillet 1937, p. 8. t. Rougem