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ue de Carl Koch6, qui vient combler la plus grave
lacune
de la littérature kierkegaardienne en France. On ne saurait trop insi
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ux, et il nous sera permis de souhaiter que cette
lacune
suscite un Bremond protestant, ne fût-ce que pour corriger les souria
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’entreprendre la réparation de cette inconcevable
lacune
, en publiant l’ouvrage central de la réforme luthérienne, le Traité d