1
e de Jésus. Mais alors, n’était-ce pas un abus de
langage
que de prétendre voir une personne morale dont on récusait par avance
2
il n’est pas moins vrai que Calvin sut parler un
langage
d’une verdeur assez peu sorbonnique. Max Dominicé ne sera pas le dern
3
ne peuvent en somme que donner plus de vigueur au
langage
des faits, cités ici en très grand nombre à chaque page. Faits sinon
4
s, il se recrée toujours lui-même. Soumission du
langage
à l’objet spirituellement dominé : telle serait la formule du classic
5
gui ou excité nous a fait perdre le secret. Notre
langage
moderne relève à peine de deux maladies graves : la contention abstra
6
onsabilité de ses paroles. Or, rien ne confère au
langage
une aussi poignante vertu que cette conscience d’une mission à rempli