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à même, il se rend plus directement accessible au
lecteur
français. Essayons de marquer les étapes de sa recherche. ⁂ Le protes
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ièrement avec le réalisme brutal du sujet. Que le
lecteur
, pourtant, ne se laisse point arrêter par des définitions dont la sub
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siècle, mais encore parce que, à tout moment, le
lecteur
se voit incité à imaginer ce qu’il fut advenu de la France si l’édit
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nsolite et dramatique ont bien de quoi retenir le
lecteur
même incroyant ou ignorant de ces débats. Wilfred Monod nous apparaît
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exigence de la vérité en action. Que trouvera le
lecteur
profane, et peu au fait de la problématique chrétienne, dans cet ouvr
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ares, et chez Luther assez flagrantes, pour qu’un
lecteur
qui refuse l’essentiel — c’est-à-dire la foi de Luther — soit tout de
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n : cette façon de ne pas insister, de laisser le
lecteur
seul avec l’émotion, cette malice cordiale, cette variété et, à la fo
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rieur. Dieu est en l’homme. En 1935, il est nommé
lecteur
à l’Université de Francfort et séjournera un an en Allemagne hitlérie