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te histoire : « Vue d’en haut, c’est une série de
libres
actions divines : vue d’en bas, une série d’essais sans résultats au
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ait imaginer rien de plus opposé au trop fameux «
libre
examen » dont les rationalistes ont voulu faire l’apanage du protesta
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in n’est guère partisan, on le voit, de ce fameux
libre
examen dont on persiste à lui attribuer l’invention, par une erreur a
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iens trop rigides par le recours à une piété plus
libre
. On sait que pour l’école de Barth, tout au contraire, le rôle de la
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u’une fièvre morbide. Mais la forme excessivement
libre
de cet ouvrage le sauve de l’ennui inhérent aux gros livres. C’est un
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nous aime. Il faut choisir. Mais le choix est-il
libre
? On retombe au débat de Luther et d’Érasme. Le trop prudent humanist
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y manque rien que le rythme, c’est-à-dire la part
libre
du génie, de l’imagination fabulatrice. Et c’est là que je vois le tr
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masse, mais un homme ouvert aux idées, à la fois
libre
et responsable. Il y a une vocation de la personne, vocation qui, à l
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ste. L’homme, vous ai-je dit, doit être à la fois
libre
et responsable ; de même pour chaque nation dans l’Europe fédérée que
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s, mais une association de républiques autonomes,
libres
de leur gestion intérieure et responsables les unes des autres devant
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y a plus ni Juifs ni Grecs, ni esclaves ni hommes
libres
, ni hommes ni femmes, car vous êtes tous fils de Dieu, vous êtes tous