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ch6, qui vient combler la plus grave lacune de la
littérature
kierkegaardienne en France. On ne saurait trop insister sur l’utilité
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clairement et fidèlement, sans pédantisme et sans
littérature
. Tant de biographes brillent aux dépens de leur modèle ! Modeste et s
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énient à priori, mais à coup sûr, il s’agit là de
littérature
, bien que l’auteur s’en défende dans sa préface. Cela nous vaut des p
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Et peut-être, avec lui, l’art tout court. Dans la
littérature
du xxe siècle, il n’y a plus de grands mythes, il y a des analyses.
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s qu’il agit sans charité (thème fréquent dans la
littérature
nordique). C’est à l’avant-dernière page seulement que le sens profon
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tout le romantisme. Mais elle inspire d’abord la
littérature
courtoise… Littérature dont le succès rapide s’explique mal, car elle
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is elle inspire d’abord la littérature courtoise…
Littérature
dont le succès rapide s’explique mal, car elle implique une subtilité
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pu, en moins de vingt ans, dominer ainsi toute la
littérature
? Beaucoup d’historiens, d’érudits, se sont posé la question sans pou
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du la clef, et qui a pourtant inspiré toute notre
littérature
, reprend Denis de Rougemont. Le mythe de Tristan et Iseut, qui pose p
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t l’amant, qui est le sujet essentiel de toute la
littérature
occidentale, n’a surgi dans la littérature orientale que tout dernièr
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ute la littérature occidentale, n’a surgi dans la
littérature
orientale que tout dernièrement, à la suite du christianisme. J’avoue
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définitive le mariage, puisse encore inspirer la
littérature
? Denis de Rougemont réfléchit : Non, je crois que nous sommes à une
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ntradiction. Romans, poèmes, musique, l’art et la
littérature
nous représentent la passion comme un paroxysme désirable, comme un é
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que des poèmes, persuadé que toute autre forme de
littérature
était inférieure et méprisable. En même temps je jouais au football.
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t, d’architecture, de musique, de philosophie, de
littérature
et de doctrine sociologique ou politique, ont été paneuropéennes, et