1 nes confusions : l’œuvre, en danois, s’appelle La Maladie mortelle, et cette maladie, c’est le péché. L’impitoyable maîtrise qu

2 n danois, s’appelle La Maladie mortelle, et cette maladie , c’est le péché. L’impitoyable maîtrise que Kierkegaard apporte dans

3 e psychologique du désespoir, considéré comme une maladie universelle ne doit pas nous tromper sur le dessein du livre. Nul rom

4 souvent lapidé. Épuisé par la tuberculose et une maladie des yeux, il arrive qu’il s’effondre pendant ses discours. Il écrit u

5 ils ne peuvent résoudre jusqu’à ce que, dans leur maladie justement, percevant leur question dernière, ils découvrent leur véri

6 ret. Notre langage moderne relève à peine de deux maladies graves : la contention abstraite du xviie et la dissolution voluptue