1
’abord qui nous retient chez Pierre Girard, cette
merveilleuse
ingénuité devant le printemps et les femmes, cette aisance de l’écrit
2
éjoue toutes les conventions. Surtout, un rythme
merveilleux
de souplesse, d’imprévu et d’aisance, entretient tout au long de la l