1 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
1 eur terrestre ou céleste. Car cette rencontre est mortelle à l’homme. Et c’est par là même qu’elle lui apporte, de l’extérieur,
2 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
2 usions : l’œuvre, en danois, s’appelle La Maladie mortelle , et cette maladie, c’est le péché. L’impitoyable maîtrise que Kierkeg
3 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
3 tion. À vrai dire, on ne croit guère à ce pouvoir mortel d’un anneau dérobé dans une tombe (L’Anneau des Löwensköld). L’auteur
4 1970, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les prophètes de la décadence (24 septembre 1970)
4 lisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles . Et il ajoutait : Elam, Ninive, Babylone étaient de beaux noms vag
5 nonce en somme que toutes les civilisations étant mortelles , la nôtre aussi pourrait périr, va donc probablement périr. Pour émou
6 l en résulte inexorablement que toute culture est mortelle , et l’on rejoint la phrase de Valéry. Enfin, dans un effort tout à fa
7 . Le temps est passé où les civilisations étaient mortelles . » J’ajouterai cette simple remarque : si tant de civilisations qu’on