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entier. Quel est donc le contenu de cette œuvre,
où
est le secret de son incomparable virulence ? Les essais que viennent
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sérieuse… parler de la Parole de Dieu, la parole
où
dieu devient homme. Nous pouvons répéter ces quatre mots, mais en les
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ncêtres du dessin animé et des Eugène de Cocteau,
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nous voyons gesticuler, non sans grandiloquence, des savants astronom
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ierkegaard nous laisse un ouvrage d’autocritique2
où
il dégage le sens général de son œuvre. On peut y lire ceci, en matiè
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me américain. Dire que la foi n’est réelle que là
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elle se réalise ne signifie pas qu’il faille agir à tout prix. L’acti
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a qu’un moyen : c’est de leur ouvrir sa maison. D’
où
les confessions privées ou publiques, qui sont l’un des traits marqua
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ar petites équipes. Ils voyagent beaucoup et vont
où
l’Esprit les appelle. Ils partent bien souvent sans autre raison que
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i leur vient de pouvoir être utiles à tel endroit
où
Dieu leur dit d’aller. La chronique des rencontres miraculeuses qu’il
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s cet embouteillage de doctrines et de programmes
où
nous sommes pris, le seul message utile est celui qui nous révèle une
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, une ligue réactionnaire fait poser des affiches
où
elle reprend des termes semblables : « Brûlez-le, brûlez Kagawa ! C’e
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. ⁂ Qu’est-ce qu’un roman chrétien ? Une histoire
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tout le monde « se conduit bien » ? Il n’y aurait pas de roman. Une h
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aider les hommes, il faut d’abord les trouver là
où
ils sont. Ainsi ce livre est consolant, parce qu’il ne cache rien ; p
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il ne cache rien ; parce qu’il vient nous prendre
où
nous sommes. C’est le charme profond de Selma Lagerlöf qui revit dans
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chaussée de galoches trop grandes, dans le taudis
où
son vieux père se saoule et sacre, dix autres scènes enfantines : c’e
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tion et la nature de ce courant. L’Esprit souffle
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il veut. Les prévisions des historiens de la pensée ne semblent pas p
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érés des disciplines de la foi, au moment décisif
où
, d’autre part, la pensée de son grand disciple et continuateur, Karl
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iqué par Dieu à la limite de ses possibilités, là
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paraît la grâce, in extremis. Car c’est à chaque instant de la vie de
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st, au-delà de ces formules et dans l’orientation
où
elles nous placent, remonter à cette origine permanente de l’Église q
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Prédestination est comme une mer de scandales, d’
où
vient cela sinon de la folle curiosité des hommes ou de leur outrecui
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raités — furent traduits par lui-même du latin. D’
où
la jeunesse de cette langue et sa sobriété monumentale. Là encore, la
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temporelles ». C’est aussi ce que dit l’Évangile,
où
il n’est pas question de mysticisme. Ceci marqué, qui est plus qu’une
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apparaissent surtout intéressants dans la mesure
où
ils annoncent le lyrisme et la philosophie d’une des plus hautes péri
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d’un état de controverse intérieure et abstraite,
où
je crains bien que la jeunesse d’aujourd’hui ne voie plus qu’une fièv
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’imposer par le spectacle de ses propres luttes —
où
nous ne reconnaissons pas forcément les nôtres — et s’il ne tenait, p
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eur scepticisme ou leurs bravades, dans la mesure
où
les religions obscures dominent ceux qui n’ont pas la foi. Seule une
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yque des Löwensköld. Il faut avouer que le milieu
où
Selma Lagerlöf a grandi paraît favoriser plus qu’aucun autre le déplo
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magne, il a enseigné dans une ville universitaire
où
il rédigea, en 1936, ce Journal d’Allemagne , qui, paru au printemps
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simple, sans austérité, tout de suite familière,
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il passe l’hiver avec sa femme et Colinet, son petit garçon. Denis de
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ut, ne reconnaissent plus leur amour qu’à l’heure
où
la mort le défigure déjà… tout cela est rempli de bizarreries, de con
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e la mort tel que Freud l’a analysé. À une époque
où
le statut du mariage se modifie profondément, croyez-vous que ce fame
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un paroxysme désirable, comme un état d’exception
où
l’être se dépasse lui-même. Nous aspirons donc à connaître cet état q
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dant dix-sept ans, juge et conseiller à Sachseln,
où
il eut dix enfants. Puis il se retira dans un ermitage, où pendant vi
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dix enfants. Puis il se retira dans un ermitage,
où
pendant vingt ans il se mortifia, jeûnant complètement. Mais, apprena
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intelligence, n’est-ce pas de voir les limites d’
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l’on ne peut s’échapper ? u. Rougemont Denis de, « [Entretien] Non
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is, distingue l’homme et le relie à la communauté
où
il l’exerce. C’est d’ailleurs dans cette notion de l’homme que je pla
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itlérienne. Je me trouvais sans activité à Paris,
où
j’écrivais le Journal d’un intellectuel en chômage , quand je rencon
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Suisse, Denis de Rougemont est envoyé en Amérique
où
il passera six ans, écrira La Part du diable et se liera avec plusi
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her et un grand écrivain. À ce propos, savez-vous
où
Ionesco a trouvé le sujet de son Rhinocéros ? Dans mon Journal d’All
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t de brillantes créations de la main de l’homme ?
Où
sont-ils, ces remparts de Ninive, ces murs de Babylone, ces palais de
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volonté commune à tous de refuser l’uniformité.
Où
sont les candidats à la relève ? Aux prophètes de la décadence eur
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s Béatitudes, c’est enfin le code de Justinien, d’
où
dérivent l’Habeas Corpus et la Déclaration des droits de l’homme, qui
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que nos cendres sont fécondes. Le temps est passé
où
les civilisations étaient mortelles. » J’ajouterai cette simple remar
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ssèchement du Sahara, affectant la région entière
où
avait fleuri une civilisation déterminée. Et les autres n’en savaient
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euchâtel. Le trait caractéristique de cet endroit
où
je suis né est d’être un carrefour, une petite principauté placée ent
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s suisse, par définition. 17 ans, c’est le moment
où
j’ai pris conscience que j’étais un littéraire. À cette époque je n’é
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nce de mon père, je m’aperçois qu’à la génération
où
nous avons 64 ancêtres, la sixième, il y a 28 Suisses neuchâtelois et
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la bouche et va voleter on ne sait pas très bien
où
. Je me dis que l’éternité, l’immortalité, c’est quelque chose qui eng
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re total. Si, au contraire, j’entre dans le monde
où
Dieu existe, alors il y a un sens, il y a quelque chose qui va d’un a
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chauvinismes, fauteurs de deux guerres mondiales
où
l’Europe a failli périr, mais encore ils faussaient notre vision de l
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n pays s’accorderont mieux avec ceux de n’importe
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qu’avec les conformistes de leur propre nation, etc. Ce ne sont pas n
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ling, de Hölderlin ou de Humboldt, au moment même
où
Napoléon fait de la France un désert culturel en mobilisant à Paris t