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e monde entier. Quel est donc le contenu de cette
œuvre
, où est le secret de son incomparable virulence ? Les essais que vien
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ritualisme, de l’historicisme, de tout ce qui est
œuvre
de l’homme, pour atteindre l’œuvre du Dieu « tout autre ». Distinctio
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out ce qui est œuvre de l’homme, pour atteindre l’
œuvre
du Dieu « tout autre ». Distinction radicale entre toutes les paroles
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Quelques
œuvres
et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)e On rêverait, parfo
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autocritique2 où il dégage le sens général de son
œuvre
. On peut y lire ceci, en matière d’introduction : « Je suis et j’ai t
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r, enfin, l’on ne naît pas chrétien. Des quelques
œuvres
traduites jusqu’ici, un peu au hasard, il faut l’avouer, le Traité du
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é le traducteur, prête à certaines confusions : l’
œuvre
, en danois, s’appelle La Maladie mortelle, et cette maladie, c’est le
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du désespoir, qui est la thèse maîtresse de cette
œuvre
, conduirait l’homme au nihilisme absolu : mais ce péril est tout imag
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lier et ironique de Kierkegaard a créé dans cette
œuvre
une abondance d’illustrations inoubliables. Par ailleurs, cette desce
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pour nous que d’aller voir ce qui se passe dans l’
œuvre
du danois prophétique, ressuscité par l’angoisse moderne. Koch n’a pa
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« Je sers »). e. Rougemont Denis de, « Quelques
œuvres
et une biographie de Kierkegaard », Les Nouvelles littéraires, Paris,
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s la vieille croyance à la sanctification par les
œuvres
. Karl Barth et ses amis n’ont pas manqué de critiquer vivement certai
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u Mouvement des Groupes peuvent répondre que leur
œuvre
se développe dans une atmosphère de franchise, d’autocritique, de sob
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n dont le tirage atteint 250 000 exemplaires. Son
œuvre
s’étend dans les slums. Mais à ce moment le machinisme s’introduit au
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-ce qu’un protestant sans foi ? Dans toutes leurs
œuvres
, vous chercheriez en vain un roman véritablement chrétien. La Porte é
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près général de la critique à propos d’une telle
œuvre
donnerait lieu à des conclusions amères. Amères pour la critique surt
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aine. La persécution des protestants ne fut pas l’
œuvre
du parti catholique français, mais bien des conseillers étrangers des
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dans le domaine de la politique européenne, fut l’
œuvre
personnelle des réformés. Le « grand dessein » qu’avait conçu Béthune
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ressante plaquette de H. Dartigue sur la vie et l’
œuvre
de J. Viénot. j. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Une histoire
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ition de cette question plutôt gênante qu’est son
œuvre
en plein cœur de nos ratiocinations de clercs retraités de la vie ? M
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nsée kierkegaardienne. La question que pose cette
œuvre
, c’est celle de la foi, dans l’absolu. Ce n’est pas encore la questio
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s la trahir, la dialectique « abyssale » de cette
œuvre
. Personne n’a fait plus que Jean Wahl pour faire connaître à l’élite
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simples, Thurneysen sait atteindre au cœur d’une
œuvre
entre toutes complexe. C’est que, plus nettement encore que Berdiaev
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ne perspective chrétienne, hors de laquelle cette
œuvre
resterait privée de sens, ou seulement chaotique, morbide. Ce que no
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ur — M. le pasteur Wilfred Monod nous a donné une
œuvre
aussi exceptionnelle par ses dimensions que par son style. M. Wilfred
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rter même l’esquisse. Mais le sous-titre de cette
œuvre
nous engage à l’aborder très librement : « essai de théodicée et jour
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sent par accident, la terre tremble : est-ce là l’
œuvre
du Dieu d’amour dont parle l’Évangile ? « La fourmi périssant de mort
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chrétienne pour avoir affirmé que le monde est l’
œuvre
d’un esprit mauvais, d’un démiourgos que le Christ, fils de Dieu, est
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arier », il serait sage de parcourir au moins les
œuvres
capitales du grand réformateur. Or, il se trouve, et c’est presque in
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use : voilà tout ce qui nous est accessible d’une
œuvre
dont on sait pourtant qu’elle a changé plus qu’aucune autre les desti
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phie de Stefan Zweig, et j’ajouterais : à toute l’
œuvre
récente du parfait disciple d’Érasme que se trouve être M. Benda. Éra
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justification par la foi, qui est don gratuit et
œuvre
de Dieu seul en nous ; opposition de la justice donnée par Dieu à la
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C’est une légende, Gösta Berling, qui inaugure l’
œuvre
entière de l’auteurt. C’est une légende encore qui donne le départ à
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-dernière page seulement que le sens profond de l’
œuvre
entière est formulé : « Celui qui veut être un disciple du Christ san
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e spectacle le plus émouvant que nous donne cette
œuvre
admirable, c’est celui du travail de la foi dans la réalité totale d’
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d’un compatriote d’Amiel, a déjà derrière lui une
œuvre
solide. Il est l’un des principaux collaborateurs de la revue Esprit
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es — lui-même le déclare — sur l’homme et sur son
œuvre
, cette œuvre dont tout le monde parle et que peu de gens ont lue. Pas
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le déclare — sur l’homme et sur son œuvre, cette
œuvre
dont tout le monde parle et que peu de gens ont lue. Pas plus savant
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qu’une vie. Les circonstances qui enverraient les
œuvres
de Keats et celles de Baudelaire rejoindre les œuvres de Ménandre ne
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es de Keats et celles de Baudelaire rejoindre les
œuvres
de Ménandre ne sont plus du tout inconcevables : elles sont dans les
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isait que « les circonstances qui enverraient les
œuvres
de Keats et celles de Baudelaire rejoindre les œuvres de Ménandre ne
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es de Keats et celles de Baudelaire rejoindre les
œuvres
de Ménandre ne sont plus du tout inconcevables : elles sont dans les
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joué — plusieurs comédies de Ménandre. Quant aux
œuvres
de Keats et de Baudelaire, et de Paul Valéry lui-même, reproduites da
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tiste sait parfaitement que quand il commence une
œuvre
, que ce soit un tableau, une sculpture ou un livre, cela lui imposera
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tiste. Tout homme est amené à être créateur d’une
œuvre
, ne fût-ce que de soi-même et surtout de son couple. Je pense que c’e
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me et surtout de son couple. Je pense que c’est l’
œuvre
la plus belle. Et la passion ? La passion, je ne l’exclus pas, mais j