1 e ne songe pas tant aux traditionnelles farces de père de famille en liberté dont il assaisonnait ses Voyages en zigzag pour

2 aloches trop grandes, dans le taudis où son vieux père se saoule et sacre, dix autres scènes enfantines : c’est Andersen, en

3 Kierkegaard va consacrer son livre. Abraham, le «  père des croyants », c’est l’homme qui a osé l’absurde. Dieu lui a donné u

4 c’est parce qu’il l’accepte qu’on l’appellera le père des croyants ? L’individu serait-il au-dessus du général ? Serait-il

5 Dieu est un X qui ne se révèle à l’homme comme le Père que par son incarnation dans le Fils, reconnue grâce au Saint-Esprit.

6 l’a inventé, mais bien un Juif allemand, dont le père était devenu protestant, et qui rédigeait au British Muséum, pour le

7 us ces pays-là. Si je regarde l’ascendance de mon père , je m’aperçois qu’à la génération où nous avons 64 ancêtres, la sixiè