1
rtout, il situera, définitivement je l’espère, la
perspective
dans laquelle il faut considérer l’ensemble des écrits de Kierkegaard
2
ute d’envisager l’histoire d’une religion dans la
perspective
de sa théologie ; le rappel constant du dogme suffirait, dans le cas
3
, le professeur de Bâle a su l’envisager dans une
perspective
chrétienne, hors de laquelle cette œuvre resterait privée de sens, ou
4
ouvre, en une quinzaine de pages, les principales
perspectives
de « l’univers » calvinien. Il faut bien avouer que les commentateurs
5
re du réel, c’est qu’elle replace l’homme dans la
perspective
cosmique dont un maigre intellectualisme dogmatique nous faisait perd