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mbre 1933)a b La théologie chrétienne a-t-elle
pour
tâche de rendre acceptable le message de l’Évangile, d’en atténuer le
2
crise » de tous nos problèmes ? Mais si l’on opte
pour
le scandale et non pour les adaptations, qui voudra recevoir ce messa
3
lèmes ? Mais si l’on opte pour le scandale et non
pour
les adaptations, qui voudra recevoir ce message ? « L’âme moderne » d
4
ître aux Romains, la plus inquiétante sans doute,
pour
notre esprit critique. Il résulte de cette étude un gros livre que tr
5
omment aurions-nous le droit de nous étonner que,
pour
la plupart, ils prennent peu à peu l’habitude de délaisser l’Église e
6
système. La théologie de Barth se donne en effet
pour
une simple « note marginale » à tous les systèmes existants. Barth lu
7
ne le peut : « Car parler de Dieu voudrait dire,
pour
toute conscience sérieuse… parler de la Parole de Dieu, la parole où
8
istoricisme, de tout ce qui est œuvre de l’homme,
pour
atteindre l’œuvre du Dieu « tout autre ». Distinction radicale entre
9
des hommes les plus solides de notre temps. C’est
pour
cela qu’il peut poser les questions les plus gênantes qui soient. ⁂ O
10
ette énumération, pourtant inévitable, se révèle,
pour
mon entreprise, catastrophique. Persistons en dépit du bon sens. Pour
11
iberté dont il assaisonnait ses Voyages en zigzag
pour
amuser son pensionnat, mais plutôt à ces albums illustrés, ancêtres d
12
e filet d’humour suisse romand rentre sous terre,
pour
éviter Amiel. Faut-il désespérer de le revoir jamais ? Mais non, il f
13
i vous fera rire. En général on est plutôt déçu.)
Pour
comprendre l’humour de Pierre Girard, il faut avoir aimé Charlot, cel
14
dira-t-on ? Trois dimensions plutôt. Cela suffit
pour
créer un espace, un climat, une invite à naître — une légèreté nouvel
15
béraux. La question était ainsi nettement posée :
pour
devenir chrétien, il fallait « rencontrer personnellement le Christ »
16
n, se méfiait-on de plus en plus de ces miracles,
pour
s’attacher au seul caractère de Jésus. Mais alors, n’était-ce pas un
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ne fonde pas notre vie religieuse sur notre amour
pour
Jésus-Christ — amour dont il nous sait tout incapables par nous-mêmes
18
apables par nous-mêmes — mais sur l’amour de Dieu
pour
nous. C’est Dieu qui vient à nous, impies, non point nous qui le renc
19
» ⁂ Retrouver cette réalité, c’était du même coup
pour
notre auteur, échapper aux faux problèmes du modernisme et revenir à
20
: tout ce qui touchait à l’opinion publique était
pour
lui bien proche de la mystification. Il eut peut-être ri de se voir p
21
ont il nous faut attendre les deux autres parties
pour
saisir la pleine signification. On trouvera, d’ailleurs, une analyse
22
un chrétien sincère, peu suspect de complaisance
pour
les subtilités du « Séducteur », et qui n’a pas la tête philosophique
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oir. Or, je tiens qu’il n’y a rien de plus urgent
pour
nous que d’aller voir ce qui se passe dans l’œuvre du danois prophéti
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à ces tentatives de violation de domicile moral.
Pour
entrer en contact avec les hommes, il n’y a qu’un moyen : c’est de le
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u’on ait fait sur le Mouvement, For Sinners only (
Pour
les pécheurs seulement), de J. Russell, on découvre des possibilités
26
nement les membres des Groupes pourraient devenir
pour
eux un danger assez grave. Il y a là un risque indéniable : celui de
27
elui qui nous révèle une tâche proche, des hommes
pour
lesquels nous puissions être le prochain. Et quand ce livre n’aurait
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viennent : il faut écarter les parois de la pièce
pour
permettre à chacun de se coucher. Kagawa les nourrit de son travail.
29
entraîne une centaine d’enfants au bord de la mer
pour
célébrer la liberté. Sa ligne de bataille s’étend. Il crée l’Union de
30
sme qu’il a créé, le voilà qui lance une campagne
pour
la christianisation du Japon, une autre contre la guerre de Chine. «
31
ez romanciers de climats protestants. Que faut-il
pour
faire un roman ? Des caractères, de la vie intérieure, une morale qui
32
e volontiers ce quart. Quel avantage y voyez-vous
pour
votre foi ? — Oh ! Pas le moindre ! Je constate un fait. Mais laisson
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peccator et justus. Kierkegaard nous rappelle que
pour
aider les hommes, il faut d’abord les trouver là où ils sont. Ainsi c
34
e donnerait lieu à des conclusions amères. Amères
pour
la critique surtout, je crois. Car Sara Alelia trouvera son public ;
35
ouvera son public ; c’est un livre qui a le temps
pour
lui. 9. Hildur Dixelius von Aster : Sara Alelia, traduit du suédois
36
cune suscite un Bremond protestant, ne fût-ce que
pour
corriger les souriantes injustices du catholique à l’endroit de Calvi
37
est de celles qui n’ont pas besoin de condiments
pour
produire leur brûlante saveur. Rien de plus excitant pour l’esprit qu
38
duire leur brûlante saveur. Rien de plus excitant
pour
l’esprit que cette lecture, passionnante non seulement à cause du pit
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grand nombre à chaque page. Faits sinon nouveaux
pour
la plupart, en tout cas rassemblés pour la première fois, et propres
40
nouveaux pour la plupart, en tout cas rassemblés
pour
la première fois, et propres à modifier considérablement l’opinion qu
41
nçu dans l’abstraction et imposé par la violence.
Pour
soutenir un tel dessein, il s’agit d’établir un droit nouveau qui ne
42
tte requête mérite d’ailleurs d’être citée aussi,
pour
sa seule beauté : Lequel nous vaudra donc mieux, qu’un loup dévore n
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elle son âne et s’en va vers les monts de Morija,
pour
sacrifier son fils unique. Il le fait « en vertu de l’absurde », c’es
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te au dernier moment et lui montre un bélier prêt
pour
le sacrifice… On célèbre la grâce de Dieu qui a donné Isaac pour la
45
e… On célèbre la grâce de Dieu qui a donné Isaac
pour
la seconde fois ; on ne voit, dans toute l’histoire, qu’une épreuve.
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urs de voyage et qu’il lui fallut un peu de temps
pour
fendre le bois, lier Isaac et aiguiser le couteau. On oublie cela, o
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cette œuvre. Personne n’a fait plus que Jean Wahl
pour
faire connaître à l’élite française la pensée de Søren Kierkegaard :
48
t contre la forme du siècle présent ; de l’autre,
pour
la forme du monde à venir ». Il reste dans le monde et soumis à ses l
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nt-ils trop maigres ou trop gras ? Grave question
pour
ceux qui jugent des vérités les plus profondes de la foi selon le poi
50
pointue et un profil coupant ? N’est-ce pas assez
pour
juger son système ? Ne sait-on pas que les gros hommes sont toujours
51
ertaine renaissance du calvinisme laisse espérer,
pour
les années qui viennent, un essor tout nouveau de la pensée chrétienn
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trop insister sur cette distinction fondamentale
pour
toute la pensée réformée. Qu’est-ce qu’un témoin ? C’est un homme qui
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assion contenue et de raison déchaînée », il sera
pour
beaucoup l’occasion d’une véritable découverte de Calvin. Il nous don
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Rabelais et Des Périers qui abandonnent la cause
pour
un idéal humaniste. Or, tous ceux-là se scandalisent à grand bruit, «
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ceux-là se scandalisent à grand bruit, « non tant
pour
haine qu’ils portent aux scandales que pour nuire à l’Évangile et le
56
tant pour haine qu’ils portent aux scandales que
pour
nuire à l’Évangile et le diffamer comment que ce soit ». Il y a ceux
57
et le diffamer comment que ce soit ». Il y a ceux
pour
lesquels les dogmes sont autant d’occasions de chopper : Quant à ce
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dresse à ceux qui abusent du nom de la chrétienté
pour
nourrir une paix fardée ! Voici ceux qui voudraient confondre la vér
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vin peut nous être un puissant roboratif. Et ceci
pour
deux bonnes raisons. D’abord Calvin était chef de parti ; qui plus es
60
». Peut-être nous faut-il revenir vers les chefs
pour
apprendre à nouveau ce que parler veut dire. Ensuite, n’oublions pas
61
ux origines. Voilà la seule révolution qui compte
pour
l’esprit. Elle doit commander toutes les autres. 12. Trois traités
62
orcer un préjugé dont le bénéfice ne saurait être
pour
la foi. La mystique, nous dit-il, en effet, c’est « la recherche des
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Franck et Weigel, et surtout Boehme le gnostique.
Pour
Paracelse, on s’étonnera sans doute de le voir figurer dans un choix
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ar le recours à une piété plus libre. On sait que
pour
l’école de Barth, tout au contraire, le rôle de la théologie sera pur
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au sein de l’Église, la prédication de l’Église,
pour
la débarrasser des intrusions de philosophies passagères quelles qu’e
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philosophies passagères quelles qu’elles soient.
Pour
Barth, c’est Dieu qui met l’homme en question. M. Monod part au contr
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étique condamné par toute la tradition chrétienne
pour
avoir affirmé que le monde est l’œuvre d’un esprit mauvais, d’un démi
68
démiourgos que le Christ, fils de Dieu, est venu
pour
combattre et pour vaincre ? M. Monod le pense. Jésus, dit-il, « n’est
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Christ, fils de Dieu, est venu pour combattre et
pour
vaincre ? M. Monod le pense. Jésus, dit-il, « n’est pas venu nous ens
70
tion, malgré toutes les philosophies, doit rester
pour
tous les croyants : « Emmanuel ! » qui signifie : Dieu avec nous ! Es
71
s circonstances ? Poussé par quelles raisons ? Et
pour
quelles fins ? Si l’on ne veut pas s’en tenir à des appréciations du
72
pas ici le lieu de l’examiner. Notons seulement,
pour
écarter le pire malentendu, que Luther ne nie pas du tout la réalité
73
aimée comme telle. Mais cette nécessité s’appelle
pour
Nietzsche le fatum, la fatalité sans visage du Retour éternel de tout
74
é sans visage du Retour éternel de toutes choses.
Pour
Luther, elle est au contraire la Providence, la personne même de Dieu
75
Traité du aerf arbitre de Martin Luther, traduit
pour
la première fois en français par Denis de Rougemont.
76
r de légende (3 juillet 1937)s L’art de conter
pour
le plaisir se perd. Et peut-être, avec lui, l’art tout court. Dans la
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consistant trop souvent, il faut le dire, à tenir
pour
vrai ce que l’on juge le plus bas. Ainsi l’on en vient peu à peu, par
78
à peu, par désir de se montrer original, à tenir
pour
acquis que les « vertus » sont de ces illusions qui ne résistent pas
79
oins que le génie plein de malices d’une Lagerlöf
pour
renverser d’un coup cette apparente fatalité. Kipling meurt, et l’on
80
ailleurs, que ces héros sont bien assez complexes
pour
notre goût moderne ! Et que l’« analyse des motifs » est ici d’une fo
81
ne dévote écœurante et perverse, — cela suffirait
pour
animer un roman romantique de la grande tradition. Mais tout ce pitto
82
ive pas d’ajouter quelques traces d’humour, comme
pour
purifier l’émotion. Mais pour qu’une telle phrase soit dite, il faut
83
emble, juge et sauve. ⁂ Rien de plus passionnant,
pour
qui vient de lire les Löwensköld, que de retrouver dans les souvenirs
84
ougemont n’aime pas les villes, il n’a pas besoin
pour
écrire de ces conversations, de ces échanges qui stimulent tant d’écr
85
r, puisqu’elle a développé le culte de Notre-Dame
pour
répondre au culte de la « Dame » des troubadours. Cet amour courtois
86
e sont posé la question sans pouvoir la résoudre.
Pour
moi, l’explication n’est pas douteuse. L’amour courtois est directeme
87
Rougemont. Le mythe de Tristan et Iseut, qui pose
pour
la première fois ce fameux triangle, le mari, la femme et l’amant, qu
88
sexuelle puissent trouver une solution nouvelle ?
Pour
moi, répond Denis de Rougemont, il ne peut y avoir qu’une solution :
89
s le véritable fondement de la personnalité. Mais
pour
moi cette fidélité doit être observée en vertu de l’absurde. Elle est
90
s à concilier. Je le sais, je suis très exigeant.
Pour
moi, le mariage devrait être une institution qui maintient la passio
91
un peu délaissé au profit d’un drame que j’écris
pour
l’Exposition de Zurich. Je veux mettre en scène un héros suisse, le b
92
a tragédie grecque. C’est un travail tout nouveau
pour
moi, et très amusant. Avant de quitter Denis de Rougemont, je lui dem
93
t donc Denis de Rougemont (7 novembre 1963)w x
Pour
beaucoup, Denis de Rougemont est l’auteur d’une thèse retentissante,
94
use trouvait ses origines dans la poésie cathare.
Pour
les disciples d’Emmanuel Mounier, il est surtout le philosophe de Po
95
tout le philosophe de Politique de la personne .
Pour
quelques autres, il est l’écrivain qui a le mieux analysé la résistib
96
lemagne et Journal des deux mondes notamment).
Pour
les mélomanes, il est le poète de Nicolas de Flue , dont Honegger ti
97
Nicolas de Flue , dont Honegger tira un oratorio.
Pour
tous enfin, il est, depuis la semaine dernière, le lauréat du Grand P
98
prirent part Berdiaev, Mounier et Gabriel Marcel.
Pour
moi, la « personne » n’est ni un individu refermé sur lui-même ni la
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ne surréaliste dans une librairie de la 5e Avenue
pour
l’exposition de mon livre : La Part du diable . Rentré en Europe en
100
’engage alors dans l’action politique en militant
pour
la cause du fédéralisme européen. Fondateur et président du Congrès e
101
opéen. Fondateur et président du Congrès européen
pour
la liberté de la culturey, son activité se situera désormais sur deux
102
oit être à la fois libre et responsable ; de même
pour
chaque nation dans l’Europe fédérée que je préconise et qui n’est que
103
dirigea à Genève à partir de 1950, et le Congrès
pour
la liberté de la culture, dans lequel Rougemont s’engagea en parallèl
104
le de ces mondes avait aussi peu de signification
pour
nous que leur existence même. Mais France, Angleterre, Russie, ce ser
105
aussi pourrait périr, va donc probablement périr.
Pour
émouvante qu’elle soit, elle exprime, à mon sens, l’une des erreurs l
106
s civilisations, citait à peu près les mêmes noms
pour
illustrer le même argument que Valéry : Que sont devenues tant de br
107
léry. Enfin, dans un effort tout à fait admirable
pour
embrasser l’ensemble des cultures connues, Toynbee croit pouvoir étab
108
it depuis cent ans les motifs de craindre le pire
pour
notre civilisation. Or voici que leurs prédictions semblent confirmée
109
courbe croissance-grandeur-décadence soit la même
pour
toutes les cultures dans tous les temps. Les prophètes de la décadenc
110
occidentale de l’Empire. L’exemple est-il valable
pour
l’Europe ? La civilisation européenne est-elle une civilisation comme
111
s raisons majeures d’espérer, c’est-à-dire d’agir
pour
l’Europe. Première raison : La civilisation européenne est la seule q
112
utre existât. L’agence Cook suffirait aujourd’hui
pour
les mettre à l’abri de ce genre d’illusion. Nous, les Européens du xx
113
uvé la seule qui fût assez complexe et multiforme
pour
pouvoir, sinon satisfaire, du moins séduire tous les peuples du monde
114
e et du delta du Nil, il y avait un mot différent
pour
désigner les habitants des terres voisines, à mi-chemin entre l’anima
115
e intermédiaire entre l’Autrichien et l’homme ».)
Pour
les Grecs et les Chinois également, il existait deux espèces différen
116
servées par le musée et le laboratoire européens,
pour
être diffusées de nos jours sur toute la terre. Il s’en faut de beauc
117
s droits de l’homme, qui définissent aujourd’hui,
pour
tous les peuples du tiers-monde à peine moins que pour ceux de l’OTAN
118
tous les peuples du tiers-monde à peine moins que
pour
ceux de l’OTAN, la dignité de la personne humaine et les fondements d
119
u protestant, et qui rédigeait au British Muséum,
pour
le Herald Tribune de New York, des articles qui le faisaient vivre et
120
renouvelé l’entreprise de Pierre le Grand : il a
pour
la seconde fois européanisé la Russie. Et c’est l’URSS à son tour qui
121
occidentale de l’homme , plaide une nouvelle fois
pour
le Vieux Continent, dont il ne croit pas le destin achevé, en publian
122
tats de l’Europe ; il fixe également un programme
pour
les vingt ans à venir et nous met en garde, comme on va le voir, cont
123
uais au football. J’étais gardien de but. C’était
pour
moi le poste idéal car le gardien de but n’intervient qu’aux moments
124
sionnantes pages à l’amour. Qu’est-ce que l’amour
pour
vous ? L’amour c’est tout. Pour moi c’est plus spécialement mon livre
125
st-ce que l’amour pour vous ? L’amour c’est tout.
Pour
moi c’est plus spécialement mon livre L’Amour et l’Occident . L’amou
126
mon article me demanda si je ne voulais pas faire
pour
lui un petit livre en deux volets opposant le mythe de Tristan et l’a
127
ens possibles et qui mène au mariage solide, fait
pour
durer sinon toute la vie, du moins le plus longtemps possible ; au ma
128
quelque chose de durable. Si je fais un plaidoyer
pour
la fidélité, ce n’est pas au nom d’une morale puritaine, comme certai
129
lusieurs fois par jour la frontière est bien fait
pour
entretenir l’indignation continuelle que j’ai contre les frontières.
130
ion particulièrement scandaleuse n’a pas peu fait
pour
me convaincre qu’on n’arrivera vraiment à faire l’Europe que sur la b
131
logan est celui-ci : « Les frontières sont faites
pour
être transformées en écumoires. » Denis de Rougemont, quelle est votr
132
ps pendant lequel une personne peut se constituer
pour
essayer de découvrir sa vocation. Si elle découvre sa vocation, si el
133
chacun sait de quoi il s’agit, mais que j’insiste
pour
indiquer que nous nous trouvons devant un problème. J’ai écrit des ce
134
ages de notes sur ce que ce mot Dieu peut évoquer
pour
l’esprit d’un homme du xxe siècle, moi, par exemple. J’écris général
135
qui peut avoir l’air de faire croire aux gens que
pour
moi croire en Dieu est bien, ne pas y croire est mal, et vice versa.
136
est bien, ne pas y croire est mal, et vice versa.
Pour
être complètement sincère, j’éprouve autant de difficultés à ne pas c
137
rait leur demander : Qu’est-ce que cela veut dire
pour
vous, la vie, s’il n’y a aucun sens à rien ? Pourquoi ne me comporter
138
faire l’Europe afin de rester nous-mêmes, disons
pour
aller vite : ni moujiks ni yankees. Une Europe divisée en vingt-cinq
139
ivisée en vingt-cinq nations, chacune trop petite
pour
se défendre seule, n’a pas la moindre chance de résister d’une part à
140
formule fédéraliste, seule pratiquement possible
pour
l’Europe, est en même temps la seule qui corresponde aux réalités de
141
it existé de toute éternité ; alors qu’en vérité,
pour
la plupart, en tant qu’État et en moyenne, nos nations n’ont même pas
142
Oui, mais il n’était pas question de les enfermer
pour
autant dans les frontières d’un même État. D’ailleurs, il n’est pas v
143
de l’unité linguistique, elle devrait s’amputer,
pour
le même motif, de près de la moitié de ses territoires actuels. Prene