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ans l’adversité, bien qu’il lui arrive parfois de
pousser
« un immense cri en vingt-deux langues ». La satire de Toepffer n’est
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ficatif dans le livre, ce sont les motifs qui ont
poussé
M. Dominicé à l’écrire, et qu’il expose en une vingtaine de pages pré
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able » à Dieu. Point n’est nécessaire qu’il vous
pousse
des ailes ni que vous soyez transformés en quelque essence radieuse e
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té de l’Église. Mais dans quelles circonstances ?
Poussé
par quelles raisons ? Et pour quelles fins ? Si l’on ne veut pas s’en