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de tous nos jugements et la « crise » de tous nos
problèmes
? Mais si l’on opte pour le scandale et non pour les adaptations, qui
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ement, mettant à nu les vraies raisons, les vrais
problèmes
. « Pasteur, je devais parler à des hommes aux prises avec les contrad
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ots comme religion, piété, expérience religieuse,
problème
de Dieu. Il n’en faut pas plus pour que se lèvent de toutes parts de
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ise au sérieux du fait de Dieu. Dieu n’est pas un
problème
, n’est pas l’objet de nos recherches, mais le Sujet de toute existenc
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ts, une solution ? Non point : un renversement du
problème
. Calvin ne fonde pas notre vie religieuse sur notre amour pour Jésus-
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du même coup pour notre auteur, échapper aux faux
problèmes
du modernisme et revenir à l’orthodoxie réformée. Non point comme on
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rapporte au christianisme, et en particulier à ce
problème
: comment peut-on devenir chrétien ? » Car, enfin, l’on ne naît pas c
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erkegaard nous montre un homme aux prises avec un
problème
sentimental douloureux, et qui cherche à le résoudre, d’abord par le
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réfutables d’un penseur qui sut devancer tous les
problèmes
de notre siècle. Le ton s’y élève à la hauteur de l’invective prophét
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e. De quoi s’agissait-il ? Ni de théologie, ni de
problèmes
sociaux, ni de morale ; ni même d’évangélisation. Il s’agissait de me
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einte profonde, portant comme une plaie béante le
problème
de leur existence, ce problème qu’ils ne peuvent résoudre jusqu’à ce
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ne plaie béante le problème de leur existence, ce
problème
qu’ils ne peuvent résoudre jusqu’à ce que, dans leur maladie justemen
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Le
Problème
du bien (12 septembre 1936)o Couronnant une carrière d’auteur déjà
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gie de cette « tribu ». Il semble que l’auteur du
Problème
du Bien 13 se soit fait un glorieux devoir, et peut-être un malin pla
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ent apporter un ultime renouveau. À cet égard, le
Problème
du Bien mériterait un examen critique dont le cadre de ma chronique n
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t pas synonymes) et je leur propose de méditer le
problème
du Bien. Si des croyants peuvent douter de leur croyance à cause du m
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Joie, l’Amour, la Sainteté. Il se brise contre le
problème
du Bien. D’autre part, l’orthodoxie chrétienne, avec son Dieu créateu
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omniprésent, mais silencieux, se brise contre le
problème
du Mal ». Notons que cette position du problème, ce double front cont
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e problème du Mal ». Notons que cette position du
problème
, ce double front contre l’athéisme et contre le dogmatisme, définit d
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s l’une des grandes surprises que nous réserve le
Problème
du Bien, c’est qu’au moyen d’une méthode « libérale » et partant d’un
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rie en marchant », — voilà qui pose à M. Monod le
problème
central de ce livre. Faudra-t-il donc revenir à Marcion, hérétique co
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mier tome, témoignent d’une véritable frénésie de
problèmes
, d’un état de controverse intérieure et abstraite, où je crains bien
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que l’auteur « écrit à genoux ». Au sous-titre du
Problème
du Bien, j’apposerais volontiers cet argument : comment un protestant
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te évidemment sa marquep. 13. Wilfred Monod, Le
Problème
du Bien : essai de théodicée et journal d’un pasteur, 3 volumes, chez
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mont Denis de, « [Compte rendu] Wilfred Monod, Le
Problème
du bien », Les Nouvelles littéraires, Paris, 12 septembre 1936, p. 5
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n d’un tout autre ordre. Fatalité et liberté : le
problème
ne peut être écarté comme relevant de la seule théologie. Il est au c
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les difficultés matérielles compliquent encore le
problème
du mariage. Croyez-vous que les problèmes de la vie sentimentale et s
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ncore le problème du mariage. Croyez-vous que les
problèmes
de la vie sentimentale et sexuelle puissent trouver une solution nouv
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te pour indiquer que nous nous trouvons devant un
problème
. J’ai écrit des centaines de pages de notes sur ce que ce mot Dieu pe
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est pas peu dire. Cela veut peut-être dire que le
problème
est mal posé dans ma tête, ou dans mon existence. À quoi j’en reviens