1 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
1 lle jusque dans le style la verve créatrice de la Réforme . d. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Max Dominicé, L’Humanité
2 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
2 fameux paradoxe luthérien qui est au centre de la Réforme  : simul peccator et justus. Kierkegaard nous rappelle que pour aider
3 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
3 Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)j Certes, la grandeur d’une Église et
4 de formuler devant sa monumentale Histoire de la Réforme française. Plus encore que le premier tome de cet ouvrage (des origin
5 les effets sociaux, politiques et culturels de la Réforme , sans les rapporter à l’évolution parallèle du dogme dans l’Église. D
6 ologie, a réussi le tour de force de parler de la Réforme d’une manière si objective, si impartiale, si spectaculaire, pourrait
7 de renanisme, et considérant les conquêtes de la Réforme comme autant de conquêtes de la liberté de conscience en général, plu
8 Mais ce n’est pas peu dire. 10. Histoire de la Réforme française, tome II : De l’édit de Nantes à sa révocation, Librairie F
9 ont Denis de, « [Compte rendu] Une histoire de la Réforme en France », Les Nouvelles littéraires, Paris, 15 décembre 1934, p. 5
4 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
10 surtout le simul peccator et justus qui fonda la Réforme luthérienne. 11. Crainte et Tremblement, par Kierkegaard, traduit
5 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
11 t de cette image un nouveau cliché polémique : la Réforme se voit assimilée au « fays ce que vouldras » des Renaissants. Les pr
12 rallèle irrecevable. Les grands théologiens de la Réforme ne sont pas à nos yeux des chefs d’école ; ni des docteurs dont la pe
13 de la doctrine sacramentaire à l’intérieur de la Réforme et c’est le Traité de la cène ; enfin, aux diverses mystiques de l’hu
14 un puissant raccourci de toute la polémique de la Réforme contre les libertins et les anabaptistes, contre les occultistes de l
15 n dans la satire, pourrait en somme s’intituler : Réforme contre Renaissance. Mais toutes les richesses de style que produisit
6 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
16 vable lacune, en publiant l’ouvrage central de la réforme luthérienne, le Traité du serf arbitre 14. Ne fût-ce que sur le plan
17 fait, toutes les affirmations fondamentales de la Réforme sont ici reposées par Luther : justification par la foi, qui est don
18 et c’est heureux — des positions maîtresses de la Réforme . Quant à la thèse particulière, qui est la négation du libre arbitre
7 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
19 ent toute l’humanité suscitée et instruite par la Réforme , c’est un pays entier sous la lumière de la Parole, qui trouve ici so
8 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
20 ravaillez-vous ? J’ai en chantier un livre sur La Réforme comme Révolution. Mais je l’ai un peu délaissé au profit d’un drame q