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mme pieux ; un événement et non une croyance, une
rencontre
personnelle et inconcevable avec le Christ, et non point une morale p
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rantie de bonheur terrestre ou céleste. Car cette
rencontre
est mortelle à l’homme. Et c’est par là même qu’elle lui apporte, de
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r personnellement le Christ ». Mais comment cette
rencontre
pouvait-elle avoir lieu ? Deux voies s’offraient : celle de l’histoir
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ois. J’ai assisté cet hiver, à Paris, à l’une des
rencontres
du Mouvement : il y avait là une vingtaine de personnes, un pasteur,
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ssez déçu, comme on sort en général de toutes les
rencontres
prévues. Ce que je savais du Mouvement m’avait fait espérer, secrètem
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ndroit où Dieu leur dit d’aller. La chronique des
rencontres
miraculeuses qu’ils ont ainsi vécues remplirait des volumes, et nourr
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a compagne. Il sort. Il s’en faut de peu qu’il ne
rencontre
dès les premiers pas une vieille mendiante sourde. Une voiture le dép
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du que la femme désignée par Dieu doit venir à sa
rencontre
. Un peu plus loin, il entend chanter : c’est la fille de l’aubergiste
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e, tremble, et marche toujours. Voici venir, à sa
rencontre
cette fois-ci, la plus pauvre orpheline du village ; elle est défigur
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ut qui restent indifférents pendant leur première
rencontre
, ne s’aiment qu’après avoir bu le philtre, ne peuvent plus se support