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rcher !) Le vrai « miracle », ici, c’est le parti
romanesque
que Selma Lagerlöf a su tirer du mythe. Et c’est aussi la profusion g
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conte populaire et de l’imagerie sentimentale et
romanesque
, qu’on croyait épuisées depuis les Victoriens, retrouvent ici leur gr
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s secrets de l’art de Selma Lagerlöf. L’invention
romanesque
n’est ici que la « mise en pratique » d’une attitude spirituelle extr