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me agressif, de cette obstination à rechercher le
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réel des mots d’ordre que l’on va répétant, de cette puissance de sér
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vent rude ; de cette puissance critique enfin, au
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le plus créateur du terme, et qui met en état de crise toutes nos séc
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faite, et qui lui vaut l’estime des personnes de
sens
. Mais après tout, ne serait-il pas étrange d’apporter des preuves sér
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s « enseigner à révérence ». On peut dire dans ce
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que l’exégèse de Calvin est toute didactique : elle veut sans cesse t
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rempe exceptionnelle ; mais non pas un inquiet au
sens
moderne, et le contraire d’un esthète. Comme Nietzsche, avec lequel i
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laisse un ouvrage d’autocritique2 où il dégage le
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général de son œuvre. On peut y lire ceci, en matière d’introduction
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ranciscain. Il y a en lui un amour des objets, un
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de la nature, une compréhension des symboles qui appartiennent au gén
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hors de laquelle cette œuvre resterait privée de
sens
, ou seulement chaotique, morbide. Ce que nous avons cherché dans Dos
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eltanschauung à la fois biblique et classique, au
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le plus vigoureux de ce terme. En la replaçant dans l’atmosphère viol
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e du Verbe divin. Prêcher l’Évangile, c’est à son
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engager le dialogue avec toutes les catégories d’hommes, avec toutes
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on de la Parole vivante à la tradition codifiée ;
sens
de la décision totale entre un oui et un non absolus, et refus de tou
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). C’est à l’avant-dernière page seulement que le
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profond de l’œuvre entière est formulé : « Celui qui veut être un dis
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prement artistique, la création, le don au double
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du mot, de l’auteur du triptyque des Löwensköld. Il faut avouer que l
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un respect de la lettre qui leur cache parfois le
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profond des textes… Ils répugnent à l’emploi des méthodes freudiennes
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ce à opposer humanisme et christianisme, et je me
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plutôt du côté du christianisme. Au mot « humaniste », je préfère le
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Pour émouvante qu’elle soit, elle exprime, à mon
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, l’une des erreurs les plus célèbres de l’époque. Mais comment expliq
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ous savons que ce mouvement d’imitation s’opère à
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unique et n’est plus réversible. Mais comment expliquer ce phénomène
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ent mon livre L’Amour et l’Occident . L’amour au
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de l’amour-passion que j’ai décrit dans mon livre fut quelque chose d
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et non pas contre le mythe. Cela n’aurait pas de
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de dire que l’on est contre la passion qui est l’une des choses glori
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oujours finalement, c’est à ceci : Dieu, c’est le
sens
. S’il n’y a pas de Dieu, il n’y a pas de sens. Certains savants aujou
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le sens. S’il n’y a pas de Dieu, il n’y a pas de
sens
. Certains savants aujourd’hui disent qu’ils ne tiennent pas du tout à
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ne tiennent pas du tout à ce que le monde ait un
sens
, à ce que notre vie ait un sens, à ce que l’humanité ait un sens, pui
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e le monde ait un sens, à ce que notre vie ait un
sens
, à ce que l’humanité ait un sens, puis ils finissent par vous faire u
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notre vie ait un sens, à ce que l’humanité ait un
sens
, puis ils finissent par vous faire un petit couplet de morale scienti
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ela veut dire pour vous, la vie, s’il n’y a aucun
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à rien ? Pourquoi ne me comporterais-je pas comme le surhomme de Niet
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tre dans le monde où Dieu existe, alors il y a un
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, il y a quelque chose qui va d’un arrière à un avant. Si vous voulez,
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e ils faussaient notre vision de l’histoire et le
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même de la vie de l’esprit. 1° Chacun de nos pays a un nord et un mid