1
ents et la « crise » de tous nos problèmes ? Mais
si
l’on opte pour le scandale et non pour les adaptations, qui voudra re
2
t-elles pas encore ? — d’être Charybde et Scylla.
Si
c’est cela l’origine et le but de la prédication chrétienne, me disai
3
renions mieux qu’ils ne se comprennent eux-mêmes…
Si
nous ne prenons pas les hommes au sérieux quand la détresse de leur e
4
ur existence les a conduits à nous, je le répète,
si
nous ne les prenons pas davantage au sérieux qu’ils ne le font eux-mê
5
uquel l’homme ne peut aller. Du totaliter aliter.
Si
donc la tâche du théologien est de parler de Dieu, il s’avère qu’en t
6
et la silhouette élégante du Dr Festus, toujours
si
digne dans l’adversité, bien qu’il lui arrive parfois de pousser « un
7
s l’espièglerie la plus folle, un humour apitoyé.
Si
Toepffer s’attendrit sur ses bonhommes, n’est-ce pas une manière de d
8
u-vent, inexplicablement. Tâchez de ne pas rire ;
si
vous réussissez, soyez tranquilles : vous ne pleurerez pas non plus a
9
s comme Foi et Vie , Le Semeur , Hic et Nunc .
Si
, par ailleurs, ces jeunes théologiens et essayistes reprennent le voc
10
e peu. Mais on regrette parfois qu’il suive à pas
si
prudents son modèle, et que l’admiration que lui inspire Calvin s’exp
11
d’aujourd’hui. Je dirais qu’il est le plus grand,
si
la mesure de la grandeur, dans sa vision, n’était pas exclusivement d
12
donne d’admirables citations de ses Méditations.
Si
les romans de Kagawa l’ont fait comparer à Gorki, ses poèmes en prose
13
ion de réformés en France. Imaginez la proportion
si
l’édit de Nantes n’avait pas été révoqué ! — Je vous accorde volontie
14
r il faut bien connaître la nature et ses abîmes,
si
l’on veut être à même d’y voir les marques du surnaturel. La grâce n’
15
intures d’une Laponie lointaine et d’une humanité
si
proche. Moins d’art peut-être, je veux dire moins d’apparent lyrisme
16
ur de force de parler de la Réforme d’une manière
si
objective, si impartiale, si spectaculaire, pourrait-on dire, qu’on n
17
parler de la Réforme d’une manière si objective,
si
impartiale, si spectaculaire, pourrait-on dire, qu’on ne voit guère e
18
éforme d’une manière si objective, si impartiale,
si
spectaculaire, pourrait-on dire, qu’on ne voit guère en quoi son Hist
19
ncité à imaginer ce qu’il fut advenu de la France
si
l’édit avait été observé, s’il n’avait pas été révoqué, si Sully avai
20
avait été observé, s’il n’avait pas été révoqué,
si
Sully avait été écouté, si les jésuites n’étaient pas revenus, s’ils
21
avait pas été révoqué, si Sully avait été écouté,
si
les jésuites n’étaient pas revenus, s’ils n’avaient pas armé, après q
22
comme une formule anticipée du droit « nazi » :
Si
le roi, disait-il, ne voulait point qu’on portât des glands à son col
23
Peut-être, l’examen de ces « témoins » à la fois
si
divers et si profondément semblables nous permettra-t-il aujourd’hui
24
’examen de ces « témoins » à la fois si divers et
si
profondément semblables nous permettra-t-il aujourd’hui de préciser l
25
e d’Abraham, personne qui puisse le comprendre ?
Si
, pourtant. Les pasteurs ont coutume de l’offrir en exemple. Car enfin
26
acte « fou » et revint avec lui dans la vie comme
si
rien ne s’était passé. Voilà le paradoxe des paradoxes : vivre comme
27
L’exposition Calvin à la Bibliothèque nationale,
si
elle a permis à beaucoup de réviser quelque peu leurs notions sur l’i
28
temporelles ». Fort bien, répondrait un marxiste,
si
le christianisme est cela, nous lui laisserons ses rêveries et nous n
29
J’entends le premier romantisme allemand, encore
si
mal connu chez nous. Il est grand temps que nous rendions hommage à c
30
t je leur propose de méditer le problème du Bien.
Si
des croyants peuvent douter de leur croyance à cause du mal, que des
31
ente de suggérer qu’on l’admettrait plus aisément
si
l’auteur ne cherchait à l’imposer par le spectacle de ses propres lut
32
ussé par quelles raisons ? Et pour quelles fins ?
Si
l’on ne veut pas s’en tenir à des appréciations du genre « moine qui
33
La première qu’il croisera en allant au village,
si
elle n’est pas mariée, deviendra sa compagne. Il sort. Il s’en faut d
34
se sauvage. » Il s’arrête. « Tu me regardes comme
si
j’étais une bête curieuse, dit-elle. On croirait que tu as rencontré
35
roman de la grande époque (xixe siècle) et voyez
si
leur décadence ne suffit pas à expliquer la crise actuelle du genre d
36
il est en réalité : l’aventure la plus difficile.
Si
vous ne fondez pas le mariage sur une décision réfléchie, sur quoi le
37
quotidienne. Votre réhabilitation de la fidélité,
si
conforme à la conception chrétienne du mariage, suppose chez les fem
38
maintenant comment ils pourraient se rapprocher.
Si
j’aide des êtres troublés à vivre à deux sans trop se blesser, ce ser
39
Comment définirait-on Nietzsche ou Kierkegaard ?
Si
l’on veut absolument coller une étiquette, disons que je suis un essa
40
t je n’ai vu qu’abandon et que solitude… Qui sait
si
sur les rivages de la Seine, de la Tamise ou du Zuydersee… qui sait s
41
la Seine, de la Tamise ou du Zuydersee… qui sait
si
un voyageur comme moi ne s’assiéra pas un jour sur de muettes ruines,
42
quait l’aboutissement suprême de l’Histoire. Mais
si
l’on appliquait sa dialectique aux civilisations, on en venait à pens
43
lerie à propos de la fameuse phrase de Valéry : «
Si
les civilisations mouraient tout à fait, Valéry ne pourrait pas le di
44
mortelles. » J’ajouterai cette simple remarque :
si
tant de civilisations qu’on croyait endormies sont tirées de l’oubli
45
endormies sont tirées de l’oubli au xxe siècle,
si
tant d’écoles antiques de sagesse et de mystiques voient leurs livres
46
Quel était le Denis de Rougemont de ses 17 ans ?
Si
vous me disiez 17 ans et demi, je vous dirai : l’âge de mon premier a
47
e que j’avais des ancêtres dans tous ces pays-là.
Si
je regarde l’ascendance de mon père, je m’aperçois qu’à la génération
48
sence, chez Plon, ayant lu mon article me demanda
si
je ne voulais pas faire pour lui un petit livre en deux volets opposa
49
ondition de réussite de quelque chose de durable.
Si
je fais un plaidoyer pour la fidélité, ce n’est pas au nom d’une mora
50
n grand bonheur. Et votre définition de la mort ?
Si
un homme pouvait penser complètement la mort, il mourrait à cet insta
51
aucoup d’hommes, sur la mort, sur la chronologie,
si
vous voulez. Je pense que l’immortalité n’est pas quelque chose qui c
52
constituer pour essayer de découvrir sa vocation.
Si
elle découvre sa vocation, si elle la réalise plus ou moins bien, ell
53
ouvrir sa vocation. Si elle découvre sa vocation,
si
elle la réalise plus ou moins bien, elle peut dire qu’elle a réussi s
54
de gauche ? Nous entrons dans l’arbitraire total.
Si
, au contraire, j’entre dans le monde où Dieu existe, alors il y a un
55
y a quelque chose qui va d’un arrière à un avant.
Si
vous voulez, je pense que Dieu n’est pas une cause au début de tout m
56
icielle dès 1539 par l’édit de Villers-Cotterêts.
Si
la France entendait revendiquer la Wallonie, la Suisse romande et le
57
territoires actuels. Prenez la langue allemande :
si
elle devait coïncider avec un État-nation, il faudrait annexer à la R
58
joue aucun rôle, est simplement omis, inexistant.
Si
maintenant je transpose en termes politiques mon équation : Europe d