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tre en scène le développement d’une « tradition »
spirituelle
, figure la négation absolue de toute histoire : « Vue d’en haut, c’es
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ir que nous puissions garder dans la restauration
spirituelle
d’une Allemagne profondément paganisée. Il est aussi la plus éclatant
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oepffer n’est pas méchante, elle n’est pas même «
spirituelle
» ; c’est plutôt, dans l’espièglerie la plus folle, un humour apitoyé
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roupes », ou Mouvement d’Oxford, est un des faits
spirituels
qui serviront à fixer la signification de notre époque. Son influence
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osphère de franchise, d’autocritique, de sobriété
spirituelle
qui la préserve de la plupart des excès qu’on imagine. Peut-être la p
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vres qui nous viennent du Nord11. Un même courant
spirituel
nous les apporte au temps marqué. Peut-être, l’examen de ces « témoin
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ous avoir ouvert par son anthologie tout un monde
spirituel
et poétique plein de dangers et de merveilles. Le choix des textes me
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d temps que nous relevions ces titres de noblesse
spirituelle
momentanément méprisés par leurs héritiers directs. Et cela vaudrait
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penseur « libéral ». (Calvin disait : « libertin
spirituel
».) Il s’agit de confondre les philosophes incroyants au moyen de leu
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tte discussion séculaire, de cette grande tension
spirituelle
dans laquelle l’Europe a puisé son dynamisme créateur : l’opposition
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n. Mais tout ce pittoresque humain revêt un drame
spirituel
, le drame de l’absolu chrétien qui détruit tout dès qu’il agit sans c
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st ici que la « mise en pratique » d’une attitude
spirituelle
extrême. La phrase de Karl-Artur lâchée, il suffit de la prendre au m
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vivent. On ne saurait imaginer complexe de forces
spirituelles
, morales et matérielles plus spécifiquement européen. Quant à l’élect