1 te vie, la synthèse qui précède éternellement nos thèses et nos antithèses, tous les oui et tous les non que nous pouvons dire

2 tions possibles. Il est vrai que ce livre est une thèse . Mais il n’est pas moins vrai que Calvin sut parler un langage d’une

3 l’Amour. L’universalité du désespoir, qui est la thèse maîtresse de cette œuvre, conduirait l’homme au nihilisme absolu : ma

4 able guérison. Ces phrases résument fort bien la thèse que Thurneysen soutient avec une passion convaincante. De divers côté

5 , il n’en est ni le maître ni l’auteur : voilà la thèse capitale du livre. Ce que nous montre la Nature, c’est bien plutôt l’

6 par la considération hardie du cosmos. Quant à sa thèse théologique, je me contente de suggérer qu’on l’admettrait plus aisém

7 , envisage honnêtement les objections, donne à la thèse adverse toutes ses chances, non sans ironie toutefois, et sait enfin

8 es positions maîtresses de la Réforme. Quant à la thèse particulière, qui est la négation du libre arbitre religieux, c’est-à

9 r beaucoup, Denis de Rougemont est l’auteur d’une thèse retentissante, intitulée L’Amour et l’Occident et dans laquelle il