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s Kierkegaard, remet au premier plan de la pensée
théologique
. C’est de cette situation profondément paradoxale, assumée dans sa tr
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e sur les possibilités et la valeur de l’activité
théologique
. Barth compare à plusieurs reprises la théologie à cette étrange main
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de critiquer vivement certaines des suppositions
théologiques
qu’implique l’attitude de Buchman. Car ce n’est pas assez que de se r
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personnages de Dostoïevski, commentée sur le plan
théologique
par Karl Barth, et sur le plan d’une poésie philosophique par Kierkeg
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e se lasse pas de comparer le rôle de ces témoins
théologiques
au Jean-Baptiste de la Crucifixion de Grünewald, dont la main prodigi
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ne ici — M. Monod rejoint souvent des conclusions
théologiques
que Barth ne saurait renier. Cette convergence paradoxale et imprévue
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reconnue grâce au Saint-Esprit. Laissons l’aspect
théologique
de cet ouvrage : son style de pensée, sa démarche insolite et dramati
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nt de richesses disparates, le sérieux proprement
théologique
du raisonnement ne soit parfois diminué par certains calembours trop
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considération hardie du cosmos. Quant à sa thèse
théologique
, je me contente de suggérer qu’on l’admettrait plus aisément si l’aut
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otions juridiques et militaires romaines, notions
théologiques
diffusées par l’Église du Moyen Âge, notions scientifiques et techniq