1
e de leurs mesures puisqu’elle est le jugement de
tous
nos jugements et la « crise » de tous nos problèmes ? Mais si l’on op
2
jugement de tous nos jugements et la « crise » de
tous
nos problèmes ? Mais si l’on opte pour le scandale et non pour les ad
3
nne en effet pour une simple « note marginale » à
tous
les systèmes existants. Barth lui-même l’a nommée, avec une sobriété
4
t Calvin, Luther, et au-delà, jusqu’à saint Paul,
tous
ceux qui ont su et connu ce que nous avons à peu près oublié : que l’
5
écède éternellement nos thèses et nos antithèses,
tous
les oui et tous les non que nous pouvons dire au monde. L’homme ne re
6
ent nos thèses et nos antithèses, tous les oui et
tous
les non que nous pouvons dire au monde. L’homme ne reçoit son existen
7
ganisée. Il est aussi la plus éclatante réponse à
tous
ceux qui accusaient la pensée barthienne d’être purement négative et
8
oepffer dont on peut espérer qu’il les faire rire
tous
les deux ? Je ne songe pas tant aux traditionnelles farces de père de
9
par son oncle âgé de 102 ans (« Il avait arpenté
tous
les camps de la guerre de Sécession, mais il n’en parla pas »), et se
10
t par cela surtout qu’il est Suisse, au mépris de
tous
les racismes.) On avait, dans ce groupe, une espèce de mystique des o
11
s plus irréfutables d’un penseur qui sut devancer
tous
les problèmes de notre siècle. Le ton s’y élève à la hauteur de l’inv
12
Non point que cet ouvrage ne mérite d’être lu par
tous
les amateurs de grand lyrisme intellectuel (le style admirable de ces
13
aitement. Voyez-vous, je ne dis pas qu’ils furent
tous
des chrétiens. Plusieurs ont même écrit des romans furieusement antic
14
es de Viénot. La réserve dont il fait preuve dans
tous
ses jugements, l’atténuation volontaire des condamnations qu’il ne pe
15
fort peu française de l’unité à tout prix et dans
tous
les ordres, au mépris de toutes les diversités organiques et fécondes
16
tion de l’origine de sa vie, la question de Dieu.
Tous
les héros de Dostoïevski apparaissent malades, comme blessés d’une at
17
abandonnent la cause pour un idéal humaniste. Or,
tous
ceux-là se scandalisent à grand bruit, « non tant pour haine qu’ils p
18
malgré toutes les philosophies, doit rester pour
tous
les croyants : « Emmanuel ! » qui signifie : Dieu avec nous ! Est-il
19
érité : il souhaite même qu’il n’y en ait pas. Et
tous
les prudents d’applaudir, non sans apparences de raison : on a commis
20
ue la fatalité de la légende a bel et bien dominé
tous
ces êtres, malgré leur scepticisme ou leurs bravades, dans la mesure
21
Dieu lui envoie, qu’il épousera envers et contre
tous
. Elle ne sait ni lire ni écrire. On peut surprendre, dans cette scène
22
On y retrouve aussi, décrits l’un après l’autre,
tous
les éléments historiques, décors, personnages et coutumes, que les ro
23
ocès de l’Inquisition permettent de la connaître,
tous
les thèmes des troubadours, développés avec un lyrisme, un vocabulair
24
ours des siècles ceux des grands mystiques. Ainsi
tous
les troubadours étaient des cathares ? J’en suis persuadé, dit Denis
25
as de Flue , dont Honegger tira un oratorio. Pour
tous
enfin, il est, depuis la semaine dernière, le lauréat du Grand Prix l
26
rophètes de la décadence européenne : et ils sont
tous
, ou presque tous, Européens. Loin de s’émerveiller du fait que le gén
27
cadence européenne : et ils sont tous, ou presque
tous
, Européens. Loin de s’émerveiller du fait que le génie européen rayon
28
b Burckhardt et de Donoso Cortès à Georges Sorel,
tous
ont décrit depuis cent ans les motifs de craindre le pire pour notre
29
adence soit la même pour toutes les cultures dans
tous
les temps. Les prophètes de la décadence de l’Occident, Spengler, Val
30
ent leur unité d’une doctrine uniforme, imposée à
tous
par l’État. Comparée à ces deux groupes de cultures homogènes, unifor
31
doxale consistant dans la seule volonté commune à
tous
de refuser l’uniformité. Où sont les candidats à la relève ? Aux
32
urs embarras de circulation. Nous savons bien que
tous
les pays neufs imitent nos parlements, partis et syndicats, et même p
33
pour pouvoir, sinon satisfaire, du moins séduire
tous
les peuples du monde. Nous avons vu aussi que l’Europe envoie dans le
34
hinois, d’une part, et les barbares, c’est-à-dire
tous
les autres, qui n’étaient pas vraiment et complètement humains. Ces t
35
hommes libres, ni hommes ni femmes, car vous êtes
tous
fils de Dieu, vous êtes tous un en Jésus-Christ. »), cette conception
36
emmes, car vous êtes tous fils de Dieu, vous êtes
tous
un en Jésus-Christ. »), cette conception devait seule permettre à ceu
37
à ceux qu’elle formerait intimement de considérer
tous
les hommes comme dignes et capables, un jour ou l’autre, de participe
38
giner que la civilisation diffusée par l’Europe à
tous
les peuples puisse s’éclipser ou disparaître, sans entraîner le genre
39
its de l’homme, qui définissent aujourd’hui, pour
tous
les peuples du tiers-monde à peine moins que pour ceux de l’OTAN, la
40
rant de l’empire des Aztèques. Il s’agissait dans
tous
ces cas de civilisations locales, entourées de « barbares » mal connu
41
timent venait de ce que j’avais des ancêtres dans
tous
ces pays-là. Si je regarde l’ascendance de mon père, je m’aperçois qu
42
ales, l’une qu’il faut enseigner aux enfants, par
tous
les moyens possibles et qui mène au mariage solide, fait pour durer s
43
rmule fédéraliste, respectueuse des diversités de
tous
ordres et des autonomies régionales. Une Europe unifiée et uniformisé
44
même des termes militaires comme « canon », et de
tous
les termes techniques. Vues de loin, de l’Asie ou de l’Afrique, toute
45
érité qu’on nous cachait, c’est que la culture de
tous
nos peuples est une, quoique tissée de contradictions dans sa genèse
46
nt contestataire de son génie — mais qui nous ont
tous
affectés à doses variables, et qui ont éduqué notre vision du réel, q
47
la géographie par l’histoire », comme je le vois
tous
les jours autour de Genève, en traversant cette frontière qui ne rime
48
a France un désert culturel en mobilisant à Paris
tous
les esprits distingués qu’il n’a pas bannis. Le grand secret de la vi