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Qu’est-ce qu’un roman chrétien ? Une histoire où
tout le monde
« se conduit bien » ? Il n’y aurait pas de roman. Une histoire dont l
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sé. Voilà le paradoxe des paradoxes : vivre comme
tout le monde
, mais « en vertu de l’absurde ». C’est là le sort du « chevalier de l
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— sur l’homme et sur son œuvre, cette œuvre dont
tout le monde
parle et que peu de gens ont lue. Pas plus savant qu’un autre mais be
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ne les échanges qu’il faudrait promouvoir et vexe
tout le monde
; beau symbole de la souveraineté stato-nationale, qui ne peut plus a