1 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
1 ont toujours été les premiers à refuser, sous de très pieux prétextes, les ordres de la Parole de Dieu ? « Alors que toujou
2 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
2 évangiles. Mais, dit M. Dominicé, deux obstacles très graves se dressaient aussitôt. Le premier, c’étaient les miracles. Au
3 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
3 lus de vigueur au langage des faits, cités ici en très grand nombre à chaque page. Faits sinon nouveaux pour la plupart, en
4 prises par Hitler me paraît riche d’enseignements très actuels. Chez Louis XIV comme chez Hitler, ce n’est pas un souci d’un
4 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
5 ar notre public littéraire. En quelques chapitres très simples, Thurneysen sait atteindre au cœur d’une œuvre entre toutes c
5 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
6 contre à une véritable débauche de considérations très vaguement physiognomoniques sur le teint et la complexion de l’auteur
6 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
7 sous-titre de cette œuvre nous engage à l’aborder très librement : « essai de théodicée et journal d’un pasteur ». Nous n’av
7 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
8 s le Traité du serf arbitre une sorte de résumé — très peu systématique, et c’est heureux — des positions maîtresses de la R
8 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
9 agination fabulatrice. Et c’est là que je vois le très grand intérêt de ces souvenirs — dont le charme, d’ailleurs, suffirai
9 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
10 r toute la crise du mariage. Comment cela ? C’est très simple. Nous souffrons d’avoir été élevés dans une double contradicti
11 assez difficiles à concilier. Je le sais, je suis très exigeant. Pour moi, le mariage devrait être une institution qui main­
12 faut ne jamais laisser vides. J’écris des phrases très courtes, un peu comme des slogans. Le chœur jouera un rôle important
13 ecque. C’est un travail tout nouveau pour moi, et très amusant. Avant de quitter Denis de Rougemont, je lui demande s’il n’a
10 1963, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Mais qui est donc Denis de Rougemont (7 novembre 1963)
14 uis trouvé opposé à Eugène Ionesco qui est un ami très cher et un grand écrivain. À ce propos, savez-vous où Ionesco a trouv
11 1970, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les prophètes de la décadence (24 septembre 1970)
15 venir universelle qu’en vertu de quelque chose de très fondamental qui l’y prédisposait dès l’origine : j’entends la croyanc
16 étaient pas vraiment et complètement humains. Ces très hautes civilisations devaient donc nécessairement demeurer régionales
17 La mortalité des civilisations nous apparaît donc très variable. Certes, plusieurs ont disparu sans nous laisser d’autre hér
12 1970, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Denis de Rougemont : l’amour et l’Europe en expert (24 décembre 1970)
18 s influences françaises et allemandes, ce qui est très suisse, par définition. 17 ans, c’est le moment où j’ai pris conscien
19 e j’ai décrit dans mon livre fut quelque chose de très important dans ma vie. L’opposition entre l’amour-passion et le maria
20 osera des disciplines. Ces sacrifices on les fait très joyeusement et consciemment parce que l’on sait que c’est la conditio
21 as, mais je pense qu’elle doit être réservée à de très rares personnes qui seront probablement le sel de la terre ou qui ser
22 e sort par la bouche et va voleter on ne sait pas très bien où. Je me dis que l’éternité, l’immortalité, c’est quelque chose