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de ce livre, de son éloquence martelante (que les
traducteurs
ont fort bien rendue, et la tâche n’était pas facile) ; de son réalis
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du malentendu. Le titre même, que lui a donné le
traducteur
, prête à certaines confusions : l’œuvre, en danois, s’appelle La Mala
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été rendu aussi bien qu’il était possible par le
traducteur
). Mais il ne s’agit là que du premier volet d’un triptyque dont il no
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, désormais, les introductions que les différents
traducteurs
nous ont prodiguées jusqu’ici avec autant de science que de conscienc
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ns « Je sers ».) 16. Morbacka, souvenirs, mêmes
traducteurs
. (Stock.) s. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Selma Lagerlöf, c