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outes nos idées de la transcendance. De celui qui
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à nous, mais auquel l’homme ne peut aller. Du totaliter aliter. Si do
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omme à ceux de Port-Royal !) d’effrayer celui qui
vient
au Christ, peut seule répondre à l’angoisse humaine, tandis que l’opt
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du tort en écrivant qu’ils sont drôles. (Des gens
viennent
vous dire : tenez, voilà qui vous fera rire. En général on est plutôt
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ais sur l’amour de Dieu pour nous. C’est Dieu qui
vient
à nous, impies, non point nous qui le rencontrons au terme d’une pieu
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étude biographique et critique de Carl Koch6, qui
vient
combler la plus grave lacune de la littérature kierkegaardienne en Fr
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Kierkegaard est un événement. Voici un homme qui
vient
nous dire, en toute simplicité, qu’il a vu l’événement, et qu’il en e
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de sa victime. Ils dorment côte à côte. D’autres
viennent
: il faut écarter les parois de la pièce pour permettre à chacun de s
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onsolant, parce qu’il ne cache rien ; parce qu’il
vient
nous prendre où nous sommes. C’est le charme profond de Selma Lagerlö
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in d’elle au temps de son malheur. Puis une grâce
vient
dans sa vie, et désormais l’accompagne en secret tout au long de cett
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rier 1935)k Voici trois petits livres qui nous
viennent
du Nord11. Un même courant spirituel nous les apporte au temps marqué
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le présent ; de l’autre, pour la forme du monde à
venir
». Il reste dans le monde et soumis à ses lois, sachant pourtant qu’i
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nt encore la vision de Dostoïevski ? Ses héros ne
viennent
-ils pas à nous comme de grands questionneurs, comme des êtres orienté
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du calvinisme laisse espérer, pour les années qui
viennent
, un essor tout nouveau de la pensée chrétienne. On aurait tort d’assi
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édestination est comme une mer de scandales, d’où
vient
cela sinon de la folle curiosité des hommes ou de leur outrecuidance
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vier, et à laquelle les récents livres de Bergson
viennent
apporter un ultime renouveau. À cet égard, le Problème du Bien mérite
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d’un démiourgos que le Christ, fils de Dieu, est
venu
pour combattre et pour vaincre ? M. Monod le pense. Jésus, dit-il, «
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e ? M. Monod le pense. Jésus, dit-il, « n’est pas
venu
nous enseigner que l’univers a un créateur. Il a, au contraire, débou
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orique.) Remercions donc le courageux éditeur qui
vient
d’entreprendre la réparation de cette inconcevable lacune, en publian
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vrai ce que l’on juge le plus bas. Ainsi l’on en
vient
peu à peu, par désir de se montrer original, à tenir pour acquis que
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l est entendu que la femme désignée par Dieu doit
venir
à sa rencontre. Un peu plus loin, il entend chanter : c’est la fille
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l-Artur doute, tremble, et marche toujours. Voici
venir
, à sa rencontre cette fois-ci, la plus pauvre orpheline du village ;
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u ce prix, malgré une petite ombre au tableau. Je
viens
en effet d’apprendre que je me suis trouvé opposé à Eugène Ionesco qu
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ppliquait sa dialectique aux civilisations, on en
venait
à penser que chacune d’elles devait fatalement décliner et mourir apr
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fixe également un programme pour les vingt ans à
venir
et nous met en garde, comme on va le voir, contre les prophètes de la
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ition de la gloire ? C’est le salut. C’est ce qui
vient
après la mort. C’est l’accomplissement. C’est un triomphal accord cla
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s comme le surhomme de Nietzsche ? Au nom de quoi
venez
-vous me dire qu’il faut être socialiste ou qu’il faut être de gauche
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une ville universitaire, les colonies d’étudiants
venus
d’une même région d’Europe et parlant entre eux la même langue : nati
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s scientifiques et techniques aujourd’hui, à quoi
viennent
se superposer les influences dominantes de l’italien à la fin du Moye
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ir, à condition qu’un esprit fort (ou un naïf) ne
vienne
pas remarquer que l’on trouve à l’est de cette chaîne les mêmes Catal