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le Traité de la Cène, ce style garde partout les
vertus
qui, sans doute, font le plus grand défaut à notre siècle : une ferme
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r, rien ne confère au langage une aussi poignante
vertu
que cette conscience d’une mission à remplir et d’un dialogue à soute
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e montrer original, à tenir pour acquis que les «
vertus
» sont de ces illusions qui ne résistent pas à l’analyse, et qu’un au
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rlöf. On y admire, appliquées au réel, toutes les
vertus
subtiles, tout le « métier » de l’écrivain : cette façon de ne pas in
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sages de rêve, de superstitions folles, de folles
vertus
, de coutumes doucement tyranniques, tout cela semble disposé pour que
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s cesse capables de se renouveler, un ensemble de
vertus
solides et de qualités agréables assez difficiles à concilier. Je le
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ous pas publier un roman, dont le titre, La Folle
Vertu
, illustre bien votre pensée ? Oui, je l’ai écrit presque en même temp