1
tant au néo-thomisme. Il est avant tout un rappel
violent
à la nouveauté éternelle de l’Évangile ; une remise en question radic
2
passionnante non seulement à cause du pittoresque
violent
des faits, non seulement à cause des plongées directes qu’elle permet
3
ux de ce terme. En la replaçant dans l’atmosphère
violente
et trouble de la Renaissance, M. Schmidt va lui restituer ses trois d
4
parle l’Évangile ? « La fourmi périssant de mort
violente
sous le talon d’un chrétien qui prie en marchant », — voilà qui pose
5
qui déchirèrent le Moyen Âge ne furent pas moins
violents
que ceux que nous vivons. L’unité de notre culture et de la civilisat