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dissimule mieux que le demi-sourire d’une raison
éclairée
et mondaine. La nouveauté de l’essai d’Albert-Marie Schmidt est d’av
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e l’inscription qu’on lit au Pavillon de la Suède
éclaire
à sa façon les arrière-plans de ce miracle : « Il y a mille ans que l
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cer le tragique par la perplexité. Tout cela peut
éclairer
son attitude envers le christianisme et son mystère. Peu d’instinct r
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ps le vrai moi de l’amant s’y découvre, autrement
éclairé
, et par là subtilement changé, un peu plus lui-même qu’avant : amour