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de dépoétisation de leur monde confié aux manuels
primaires
, rate. Lire à petites doses. Vers la fin, qui est émouvante, décider
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lui-même le poète lyrique — rattaché encore à une
école
provençale qui est, à l’origine, de propulsion musicale, donc romane-
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s ce déchaînement d’orgueil humain, de scientisme
primaire
, dans cette frénésie de bonne humeur, il y a une question. Non pas un
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ace, mais les lettrés et les médecins de la jeune
école
seront comblés. Gundolf décrit l’œuvre de Paracelse comme un drame de
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tour infligent un blâme à l’inspecteur ; car si l’
École
se met à « décourager l’orgueil patriotique », où allons-nous ? Quelq
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on croirait une préfiguration des logiciens de l’
école
de Vienne. Et la discussion sur le temps, au cours du « Thé loufoque
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e à soumettre le cas aux docteurs indiscrets de l’
école
viennoise ? Le beau sujet ! Ils ne l’ont pas manqué. Pour eux aussi,
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il semblerait que les négations du moi selon les
écoles
orientales correspondent simplement aux névroses de la psychanalyse f
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sourit et nous laisse « nos » problèmes. Trois
écoles
de l’amour Si l’amour est le premier moteur non seulement de l’hom
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our. Nous n’invoquerons ici que les seconds. L’
école
chrétienne Dans une vue chrétienne de l’homme, l’amour de soi est
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utes les sociétés qui ne sont pas un ordre.) L’
école
iranienne Il n’existe plus de communauté humaine, d’unité de civil
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naliste, ne peut évidemment que se récuser.) L’
école
orientale La plupart des doctrines hindoues, et l’unanimité des éc
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lupart des doctrines hindoues, et l’unanimité des
écoles
bouddhistes, comme on l’a vu, nient la personne ou la survolent, ne c