1 rpétuellement durant toute sa vie. Et comprendre, éprouver jusqu’à la souffrance — qui est la « substance » — à quel point le re

2 retenue même de l’expression. C’est pourquoi je l’ éprouve plus vivement dans certains passages des Affinités électives, d’une a

3 possible et qui est la seule chose que les hommes éprouvent dans le fond de leur être. Il faut derrière ces idées une masse volon

4 rposées entre l’homme et les choses. Aussi bien n’ éprouve-t -il pas le besoin de s’affirmer matérialiste. La position de Ramuz par

5 mains, à la facilité plus ou moindre grande qu’il éprouve à se servir des instruments dont il a la propriété ». Et son corps lu

6 re ou la factrice, ou le postier, ou un Renaud, j’ éprouve une brève angoisse : quel rapport entre cet homme à qui je parle, et

7 la réalité. À la fin on obtient l’absurdité que j’ éprouvais , mais aussi l’impossibilité de la sentir avec quelque vivacité, sauf

8 ertaine « sympathie » (souffrir avec) que l’homme éprouve pour ses victimes : « Je regrette vraiment beaucoup, mais il faut que

9 t réticente. Or toute nature, irrémédiablement, s’ éprouve complexe et réticente. Et l’acte de foi consistera toujours à passer

10 voir qu’il serait intimement lié, chez ceux qui l’ éprouveraient , au sens de la personne ? Presque toutes les cultures et civilisation

11 est en elle.91 En présence d’une telle phrase, j’ éprouve d’abord ceci : le sentiment d’une immédiate et vive reconnaissance. C