1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 possession bienheureuse de l’instant. Et lorsque, épuisé mais pacifié, il va quitter son corps aveugle pour d’autres formes d’
2 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
2 tation perpétuelle où vivait Lawrence : « Je suis épuisé — Par l’effort que je fais pour aimer les gens — sans y parvenir. » O
3 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
3 rorisés par une sadique « défense d’inventer », s’ épuisent à rechercher le vraisemblable, en même temps que l’exceptionnel. Pour
4 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
4 été se trouve lui ménager des satisfactions qui l’ épuisent , sans que l’ordre des choses ait à souffrir d’une dépense improductiv
5 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
5 r nos retouches. ⁂ Parfois, le secret d’une vie s’ épuise dans l’œuvre ; il ne reste pour le journal que les plus sèches notati
6 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
6 elà des exigences naturelles, il ira fatalement s’ épuiser dans l’illusoire multiplicité des « aventures sans lendemain ». Limit
7 t la puissance impersonnelle par excellence, et s’ épuise à s’en libérer par le changement de l’excitation, par le défi perpétu
8 des voies aux Renonçants (ou sannyasins) qui ont épuisé la coupe, ou la dédaignent. Pas de drame, encore moins de tragique, e