1 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
1 fficialité moderne en représente — l’éloquence, l’ érudition , les grands sentiments, la morale en soi (pas la morale en vertu d’un
2 ». Charles-Albert Cingria est donc de ceux dont l’ érudition , quitte à passer pour macaronique — comme elles le sont toutes, d’ail
3 petit chef-d’œuvre d’humanisme poétique. Car l’«  érudition  » de Cingria reste si constamment précise et malicieuse qu’elle attei
2 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
4 ce dont il n’eut jamais l’idée de se cacher. – L’ érudition considérable de M. Chuzeville me paraît parfois hasardeuse. Les trava
3 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
5 vieux médecin tout plein de verve et de gaillarde érudition , comme il s’en trouve un peu partout pour sauver « l’esprit » d’un pa
4 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
6 er le pittoresque enfoui sous des amas d’abstruse érudition . Il fallait être Schmidt pour découvrir dans ce grenier de notre poés
7 ital circulant par l’univers ». Voilà de la belle érudition qui signifie. C’est une manière de poésie que bien peu savent allier