1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
1 fait singulière d’un tel livre. Il y a des sujets éternels , ou mieux, perpétuels — sujets d’étonnement perpétuel — et la Fin du
2 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
2 el. La foi réelle, c’est la puissance active de l’ Éternel dans ce temps. Cette définition condamne tout mysticisme qui ne serai
3 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
3 se révèle leur impuissance ; puis à montrer que l’ éternelle vérité n’est encore qu’une grandiose ironie tant qu’elle n’est pas ac
4 ourquoi l’acte de foi, qui saisit dans ce temps l’ éternel paradoxe de la vie et de la mort du Christ, jette sur tous nos sérieu
4 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
5 elle, assez curieusement, d’abord : « Singes de l’ Éternel  » et aussitôt… « Ministres de l’esprit ». Ô singerie géniale et minis
5 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
6 licisme, interprété par Alain, serait une sagesse éternelle qu’il s’agirait de remettre à jour, c’est-à-dire de laïciser. Point d
6 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
7 a rencontré soudain la fascinante idée du Retour éternel . Devant le roc de Sils-Maria on le voit interrompre sa course, change
8 qu’une passion se révèle ; ou la mort, ou la vie éternelle . Il faut donc que Don Juan disparaisse (car Don Juan ne gagnait qu’en
9 inal, le Jugement dernier — d’où l’idée du Retour éternel . ⁂ Comme je parlais de ces choses à une amie : « J’ai connu, me dit-e
7 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
10 ibéré de tous ses peuples, ou par quelque essence éternelle , comme on l’a cru de l’unité de nos nations à partir du xixe siècle.
11 , voilà qui brise la croyance unanime aux retours éternels du temps cyclique. Dans le prolongement du temps dramatique des Proph
12 nt développé des mythes du temps cyclique et de l’ éternel retour, c’est parce que l’homme a peur du temps. Voilà le fait fondam
8 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
13 e qu’Ibn Arabi désigne comme notre “individualité éternelle ”, notre “Nom divin”, ce que le vieil Iran désignait comme Fravarti 62