1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
1 gement sur tous les plans, financier, commercial, éthique et spirituel. Que les échanges se ralentissent ou cessent : aussitôt
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
2 ituel. C’est le refus de la magie qui fonde notre éthique , et ce dilemme est peut-être le plus important qui se pose à l’esprit
3 existence, de l’au-delà mystique et de l’immédiat éthique . Et quels sont les plus grands Occidentaux ? Ceux qui ont incarné le
4 nt se traduire dans la similitude des conclusions éthiques et dans la divergence des réalisations littéraires. « Bon esprit, pre
3 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
5 nt-Évremond de trop près dans les méandres de son éthique . Certes, il en fait valoir ainsi toutes les nuances, avec un art égal
4 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
6 t, de l’apport des poètes à la philosophie et à l’ éthique . Les études de E. Weil sur l’histoire, de M. Souriau sur la mystique
5 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
7 x de mon âge, est moins urgente dans l’ordre de l’ éthique , que dans celui de l’esthétique. C’est le maître-artisan de la langue
6 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
8 il voyait (par erreur) la sanction d’une certaine éthique  ; la conversion de quelques-uns de ses amis ; enfin la piété de sa fe
9 on de Gide. Ce qui l’a vraiment torturé, c’est l’ éthique , non le religieux ; la justice et non le salut ; ce que l’on vit et c
10 e tout à fait plat, réduit à quelques partis pris éthiques  ? Ce débat nous éloignerait de la réalité de Gide. Une intense affect
11 ofondeur » qui mesure parfois la distance entre l’ éthique et la mystique, mais qui souvent n’est qu’un concept bâtard, engendré
12 que exotérique d’un texte, disons à son seul sens éthique . Penchant bien protestant, ou simplement rançon d’une sobriété strict