1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 e silence dont il dispose. Ni plus ni moins que l’ étude des sciences naturelles, la régie d’un théâtre ou l’administration du
2 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
2 xes » qu’ils ont accueillis cette année. La belle étude de Karl Löwith sur Hegel, Marx et Kierkegaard fournit à l’orientation
3 t des poètes à la philosophie et à l’éthique. Les études de E. Weil sur l’histoire, de M. Souriau sur la mystique de la joie,
3 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
4 fécondes de sa préface et nous donnait une bonne étude sur le lyrisme romantique considéré comme une sécularisation du mysti
5 e Jean Baruzi lui sont inconnus ; de même que les études de A. Koyré sur Franck et Weigel. Quant à Luther, il le juge d’après
4 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sur l’esprit incarné (février 1936)
6 s disciplines intellectuelles, singulièrement des études théologiques ou simplement logiques ». S’il m’est permis de faire ici
5 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
7 primée, quand j’ai lu dans les Cahiers du Sud une étude de Benjamin Fondane qui s’en prend avec énergie aux interprétations d
6 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
8  » de l’esprit que suppose son entreprise ? Car l’ étude des poètes hermétiques exige une faculté d’interprétation recréatrice