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e silence dont il dispose. Ni plus ni moins que l’
étude
des sciences naturelles, la régie d’un théâtre ou l’administration du
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xes » qu’ils ont accueillis cette année. La belle
étude
de Karl Löwith sur Hegel, Marx et Kierkegaard fournit à l’orientation
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t des poètes à la philosophie et à l’éthique. Les
études
de E. Weil sur l’histoire, de M. Souriau sur la mystique de la joie,
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fécondes de sa préface et nous donnait une bonne
étude
sur le lyrisme romantique considéré comme une sécularisation du mysti
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e Jean Baruzi lui sont inconnus ; de même que les
études
de A. Koyré sur Franck et Weigel. Quant à Luther, il le juge d’après
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s disciplines intellectuelles, singulièrement des
études
théologiques ou simplement logiques ». S’il m’est permis de faire ici
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primée, quand j’ai lu dans les Cahiers du Sud une
étude
de Benjamin Fondane qui s’en prend avec énergie aux interprétations d
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» de l’esprit que suppose son entreprise ? Car l’
étude
des poètes hermétiques exige une faculté d’interprétation recréatrice