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ans prochain. Car le prochain selon la définition
évangélique
, c’est justement celui qui « exige » de l’aide et auquel on vient en
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, un attachement à sa vérité propre qui est moins
évangélique
qu’individualiste, ou même rationaliste ? Certes, je m’en voudrais de
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artir de là que les hommes touchés par le message
évangélique
ont découvert le temps irréversible de l’Histoire, et qu’ils ont osé
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La notion de l’amour du prochain, et l’injonction
évangélique
d’aimer aussi son ennemi ne sont pas absentes du bouddhisme car l’enn