1 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
1 Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (po
2 ctobre 1935)t Les souvenirs de Mabel Dodge sur Lawrence à Taos sont irritants à cause de cette Américaine qu’on y voit trop,
3 xacte pudeur. Mais enfin, c’est tout de même pour Lawrence qu’on lit ces dames. Pour quel Lawrence ? Je me demande si le souveni
4 même pour Lawrence qu’on lit ces dames. Pour quel Lawrence  ? Je me demande si le souvenir de son œuvre est pour beaucoup dans l’
5 e cent autres, cette description d’une journée de Lawrence dans son ranch mexicain (c’est à Lawrence que Brett dit « vous » tout
6 rnée de Lawrence dans son ranch mexicain (c’est à Lawrence que Brett dit « vous » tout le long du livre) : Jour de lessive ; à
7 s toutes les autres, c’est la mauvaise humeur des Lawrence , leur humeur rageuse, faut-il dire, coupée d’accès de malice saugrenu
8 es de cet état d’irritation perpétuelle où vivait Lawrence  : « Je suis épuisé — Par l’effort que je fais pour aimer les gens — s
9 oduit et un moyen pris pour fins.) Mais justement Lawrence ne croyait ni à l’un ni à l’autre. Sa susceptibilité vient sans doute
10 hains ; il n’a que des voisins inévitables. Voilà Lawrence , l’homme sans prochain. Car le prochain selon la définition évangéliq
11 comme reproche qu’on ne veut pas entendre. Pauvre Lawrence à la recherche de sa communauté solaire !34 C’est son meilleur prétex
12 au sérieux en soi la religion solaire que prêche Lawrence . C’est un rêve de compensation. C’est l’expression de son impuissance
13 ugemont Denis de, « [Compte rendu] Dorothy Brett, Lawrence et Brett ; D. H. Lawrence, Matinées mexicaines suivi de Pansies  », L