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ctobre 1935)t Les souvenirs de Mabel Dodge sur
Lawrence
à Taos sont irritants à cause de cette Américaine qu’on y voit trop,
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xacte pudeur. Mais enfin, c’est tout de même pour
Lawrence
qu’on lit ces dames. Pour quel Lawrence ? Je me demande si le souveni
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même pour Lawrence qu’on lit ces dames. Pour quel
Lawrence
? Je me demande si le souvenir de son œuvre est pour beaucoup dans l’
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e cent autres, cette description d’une journée de
Lawrence
dans son ranch mexicain (c’est à Lawrence que Brett dit « vous » tout
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rnée de Lawrence dans son ranch mexicain (c’est à
Lawrence
que Brett dit « vous » tout le long du livre) : Jour de lessive ; à
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s toutes les autres, c’est la mauvaise humeur des
Lawrence
, leur humeur rageuse, faut-il dire, coupée d’accès de malice saugrenu
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es de cet état d’irritation perpétuelle où vivait
Lawrence
: « Je suis épuisé — Par l’effort que je fais pour aimer les gens — s
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oduit et un moyen pris pour fins.) Mais justement
Lawrence
ne croyait ni à l’un ni à l’autre. Sa susceptibilité vient sans doute
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hains ; il n’a que des voisins inévitables. Voilà
Lawrence
, l’homme sans prochain. Car le prochain selon la définition évangéliq
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comme reproche qu’on ne veut pas entendre. Pauvre
Lawrence
à la recherche de sa communauté solaire !34 C’est son meilleur prétex
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au sérieux en soi la religion solaire que prêche
Lawrence
. C’est un rêve de compensation. C’est l’expression de son impuissance
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ugemont Denis de, « [Compte rendu] Dorothy Brett,
Lawrence
et Brett ; D. H. Lawrence, Matinées mexicaines suivi de Pansies », L