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pourvue de complaisance, du « pecca fortiter » de
Luther
. Pour qui n’aurait pas lu d’autres ouvrages de Jouhandeau, les aphori
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ndre manifestes à tous, et qu’il exprimait, comme
Luther
, dans un allemand populaire et grossier30. Il faut se méfier de la gl
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idemment déconcerté. Ce préjugé consiste à rendre
Luther
responsable d’une scission dans la culture et la spiritualité alleman
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jeune Marx, on ne voit pas du tout le passage de
Luther
à Boehme, ce défenseur du libre arbitre persécuté par les pasteurs. E
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rs. Et d’autre part, on sait quels liens unissent
Luther
à Maître Eckhart, et surtout à son cher Tauler, dont il cite constamm
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études de A. Koyré sur Franck et Weigel. Quant à
Luther
, il le juge d’après un résumé, confectionné par Gonzague Truc, du pam
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étienne — « chose inquiète, inquiétante », disait
Luther
— il a voulu poser honnêtement la question tragique et réelle du dout