1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
1 pourvue de complaisance, du « pecca fortiter » de Luther . Pour qui n’aurait pas lu d’autres ouvrages de Jouhandeau, les aphori
2 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
2 ndre manifestes à tous, et qu’il exprimait, comme Luther , dans un allemand populaire et grossier30. Il faut se méfier de la gl
3 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
3 idemment déconcerté. Ce préjugé consiste à rendre Luther responsable d’une scission dans la culture et la spiritualité alleman
4 jeune Marx, on ne voit pas du tout le passage de Luther à Boehme, ce défenseur du libre arbitre persécuté par les pasteurs. E
5 rs. Et d’autre part, on sait quels liens unissent Luther à Maître Eckhart, et surtout à son cher Tauler, dont il cite constamm
6 études de A. Koyré sur Franck et Weigel. Quant à Luther , il le juge d’après un résumé, confectionné par Gonzague Truc, du pam
4 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
7 étienne — « chose inquiète, inquiétante », disait Luther — il a voulu poser honnêtement la question tragique et réelle du dout